ACTIVITÉ LITTÉRAIRE
Rébellion dans l'espace
Pour compléter cette semaine marathon je vous livre le premier chapitre d'une histoire en cours de rédaction. Soyez indulgent il s'agit d'un brouillon.
Je vous souhaite bonne lecture ;)
A+
Rébellion de l'espace
par martin cazeault
30/05/13 v.1 a
Notre
histoire commence il y a bien longtemps, dans un jours lointain
presque qu'oublier dans la mémoire commune. Se jours là, l'homme
posa le pied sur la Lune. Les missions Apollo ramenèrent des
centaines de kilo de roche lunaire ramasser sur plusieurs site. Des
décennies plus tard, un échantillon explosa libérant une énergie
incroyable. S'est ainsi que l'humanité découvrit le quantum-Un, un
isotope inexistant sur Terre et surtout un carburant essentiel pour
la conquête spatial. Grâce aux quantum les vaisseaux pouvaient
franchir le mur de la lumière, faire marcher des réacteurs a fusion
et traverser un système solaire en quelque heure.
L'humanité
se répandit a travers la voie lactée, cherchant des formes de vie
extraterrestre évoluer et ne trouvèrent rien de plus évoluer que
des espèces de lemming.
Une
république terrienne se forma pour maintenir la paix a travers
l'immensité du cosmos mais a ses frontières des colonies lointaine
rêve de liberté. Ils ne veulent pas de la citoyenneté et de se que
sa implique. Les forces spécial de la frontière sont là pour
empêcher tout débordement bien que les plus cyniques murmure des
choses sur leurs actions.
Dans
l'ombre, une révolution se prépare. Mais l'obscurité qui règne
entre les étoiles cache encore bien des secrets.
Chapitre
Un
Le soleil
se levait a la fenêtre, en se grattant la barbe Pierre ouvrit les
yeux. Aussitôt une onde de douleurs traversa son cerveau. Il
n'aurait pas du boire autant hier, le tord boyau local était doux
sur le coup mais avait un effet a retard dévastateur. Il tourna les
yeux vers sa compagne et découvrit un lit vide. Il aurait du y avoir
quelqu'un, il avait bien ramener une fille hier... non ??? S'est
neurones peinèrent a se souvenir de la nuit dernière. Il s'était
installer au bar pour fêter l'arriver a bon port de son cargo et de
sa cargaison. Puis il avait aborder une rouquine solitaire, a moins
que l'inverse s'était produit ? Sa gueule de bois lui tordait les
boyaux, il fixa l'heure et se leva en sursaut. Il allait être en
retard pour conclure l'affaire. Sa serait vraiment stupide après
avoir esquiver les patrouilles des FSF et de la douane de rater
l'affaire du siècle a cause d'une panne de l'alarme de sa montre. Il
se dépêcha a enfiler une chemise propre et un pantalon puis sorti
en sifflant. Alors qu'il déambulait dans les rues étroites et
boueuse de Cincitar ses pensées vagabondèrent vers sa fille. Avec
l'argent qu'il empocherait aujourd'hui ils allaient être libre avec
un peu de chance elle abandonnerait ses idées d'intégré les forces
de défenses coloniale ou un des groupes de mercenaires qui pullulait
dans la région et que toute les jeunes trouvaient si excitant. Ah
l'appel de l'aventure, lui aussi avait connu sa et il avait même
fait un peu de piraterie dans son jeune temps. Mais il voulait mieux
pour sa petite Sophia, quelque chose d'à peu près honnêtes et
sûre. Il s'approcha du port spatial, l'esprit voguant dans les
étoiles et ne remarquant pas les petits détails qui normalement
aurait du l'alarmer. Cincitar était un monde civiliser comparer a
certain monde de la frontière ou on ne sortait pas de chez soi sans
une armure souple et tout un arsenal. Tout les ports spatiaux était
fréquenter par des contrebandiers, des voleurs et pire encore. Quand
les forces de l'ordre était dans le coin, cette faune devenait
invisible. Il y avait beaucoup moins de monde que normalement mais
l'attention distrait par la promesse de tonne de crédit. Pierre ne
remarqua pas l'absence des dealers et de leurs clients. Ni le départ
précipité du comptoir où on vendait des marchandises illégales
sur plus de douze mondes. Non, dans un état second il entra dans le
port et se dirigea vers la zone de stationnement 23-A. L'endroit où
était poser son cargo, son vaisseau chéri un éclaireur de classer
Star-Hunter converti en cargo depuis des années. Pierre leva les
yeux vers le plafond qui était une gigantesque verrière, une
vedette descendait du ciel puis remonta en chandelle vers l'espace.
Bizarre pourquoi ne s'était-elle pas posé ? Il secoua la tête, une
nouvelle douleur passa juste entre ses yeux. Combien de verres
avaient-ils pris hier ? Un lemming vert passa entre ses jambes puis
il mit le pied sur la dalle de béton ou était posé son bébé
chérie l'Aurore. Pierre leva sa main pour consulter sa montre, bon
on dirait bien que ses clients étaient eux aussi en retard. Même
les rebelles n'étaient pas capable d'arriver a l'heure juste. Un
reflet sur l'écran de sa montre attira son attention. Il y avait
quelqu'un sur les structures du toit. Lentement il se retourna en
scrutant les ombres alors que sous l'effet de l'adrénaline le
brouillard de sa gueule de bois se dissipait dans le soleil matinal.
Des ombres se glissaient tout autour du stationnement 23-A, dans quoi
s'était-il encore fourré ? Il lui faudrait dix minutes pour allumer
les moteurs et quitter cette planète pourri. Au moins il avait
toujours sa cargaison, il n'aurait pas tout perdu. Une personne sorti
de l'ombre juste sous le train d'atterrissage de l'Aurore, elle se
dirigea vers lui, bloquant sa seule voie de sorti. Il pensa une
dernière fois a la soirée d'hier au moins il avait eu une dernière
nuit de plaisir. Il reconnu l'uniforme rouge et or des FSF puis ses
yeux se posa sur le visage de la jeune femme. Il poussa un juron qui
résonna entre les murs de l'aire de stationnement. Il s'était fait
avoir comme un bleu.
- S'était vous hier au bar ?
- Vous vous rappelez pas de moi et dire que je me croyais inoubliable.
Elle
souriait comme un chat qui avait acculer une souris dans un coin.
- Ah mais je ne suis pas prêt de vous oublier chérie, je ne croyais pas le FSF désespérer au point de tenter se genre de coup. Séduire et faire boire un pauvre pilote pour lui faire cracher le morceau. Vous m'avez droguez aussi ?
- Le FSF est prêt a tout pour garantir la sécurité des frontières de la république.
- Au moins vous n'aurez pas les rebelles : répliqua Pierre un sourire narquois sur les lèvres.
Elle lui
passa les menottes et les serra jusqu'à faire couiner de douleur le
contrebandier. Elle se pencha a son oreille et lui murmura :
- Mais les rebelles n'existe pas.
Mon dieu,
il s'était vraiment faire avoir...
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