Terra
Pax
Karen
Mattew
Le
tunnel ombilical, se replia a l'intérieur de la frégate légère
USA Montcalm. Par le hublot, on voyait le navire médical allumé ses
propulseurs et mettre le cap sur l'amas d'astéroïde OG4. Karen
monta a ses lèvres son bracelet-com.
Elle
remonta le long du corridor et grimpa quatre a quatre l'échelle.
Dans la minuscule frégate, tout l'espace disponible était réserver
au propulseurs et a l'armement. La douzaine de membres d'équipage y
était a l'étroit, seul le commandant et son second disposait d'une
cabine privé et encore la. Ils partageaient la même.
Se
matin là, le second s'était mis a vomir du sang sur la passerelle.
Un rapide passage a l'infirmerie et dans le scanner avait forcer le
médecin de bord, qui était aussi ingénieur électronicien, a
demander un transfert vers un batiment mieux équippé.
D'une
dernière poussé, Karen entra sur la passerelle. Elle se rattrapa a
une poignée du plafond et pivota vers le capitaine. Vive
l'apesanteur.
Lieutenant
Mattew au rapport.
Repos,
miss, vous savez que je déteste tout le formalisme. Surtout après
six mois de croisière dans se fichu champs d'astéroïde. Vivement
que la guerre finisse.
La
guerre qui déchirait tout le système solaire, de la Terre au
colonie Jovienne. On murmurait que les différentes villes de Mars
avait décider de former un gouvernement indépendant. Et déclarer
leurs indépendance de la Terre. Les Marsiens ne voulaient plus voire
leurs jeunes périr sur les champs de bataille terrestre.
Lieutenant,
qu'elle était l'état de monsieur Mungrow ?
Son
appendicite a empirer. Les médecins du Jonasburg vont bien s'en
occuper.
Je
n'en doute pas, lieutenant j'attendais le retour a la base pour vous
annoncez cette nouvelle, mais vue les circonstances.
Tout
les yeux se tournèrent vers elle, qu'est se qui se passe.
Un
hourra général se souleva, même l'intercom s'y mis, tout le monde
a bord avait entendu.
Je
regrette juste que sa soit dans ses conditions, je ferais transférer
a la réserve les effets personnel de Mungrow.
Si
sa dérange pas monsieur, j'aimerais rester dans mes quartiers
actuel.
S'est
votre droit, essayer seulement de ne pas trop fraterniser avec
l'équipage...
Le
grade supérieur, sa devrait être un rêve ou un cauchemar, vue la
manière dont le destin la lui avait donné. L'opérateur radar,
plissa les sourcils, qu'elle que chose le tracassait.
Madame,
très étrange depuis qu'elle avait monter en grade.
Il
s'échina un bon trente seconde sur son poste, visiblement
revérifiant ses calculs deux fois.
Ils
devraient atteindre OG4 dans quinze heure. Et nous sommes le seul
navire en position d'intervenir.
Tout
le monde passez au poste de combat. Nav calculer une manœuvre
d'interception. Miss Mattew, faite armer les canons atomique.
Oui
monsieur.
En
combinaison blindé, répartie entre la passerelle, la passerelle de
secours et la salle des machines, tous attendaient la bataille a
venir. Les canons frontaux, leurs chargeurs bourrés d'obus atomique
étaient en attente comme les lasers défensifs.
Le
voyant lumineux indiquait qu'il était sur le canal privé.
Allez-y
Karen ?
Des
nouvelles de la Terre ? Comment avance la guerre ?
J'en
sais pas beaucoup plus que vous, mon frère a beau être général,
je n'entend que des rumeurs.
Des
rumeurs positives ?
On
parle de bataille final. Retour sur le canal général, il
apparaisse sur le radar principal.
Sur
l'afficheur, régler sur le radar, apparut les silhouettes des trois
navires hostiles. Un Kraken V et deux Rashi B. Sa allait chauffer.
Rien
a faire pour l'instant, tant que la passerelle principal restait
opérationnel, ils devaient croiser leurs doigts et observer. Au
mieux, elle pouvait conseiller le commandant.
Un
écho parasite, apparut juste a la limite de la zone de couverture,
disparue et revient avant de nouveau disparaître.
Radar
Deux, je veux un balayage au Lidar sur le secteur Bravo-168.
Oui,
lieutenant.
Qu'est
se que vous faites second ?
Je
vérifie un truc cap.
Le
lidar, un radar utilisant un laser, lança une série de rayon dans
l'espace.
On
a un retour d'écho, objet symètrique.
Bon
travail second, changement de la cible prioritaire.
Alerte
détecteur thermique, missiles multiples en approche.
Défense
laser sur actif.
Les
huit émetteurs défensifs arrosèrent les alentours, les ogives
explosèrent, couvrant le secteur d'éclat.
Une
série de choc secoua le Montcalm, le tableau des dégâts s'illumina
comme un arbre de noël.
La
littanie des dommages s'allongeait.
Avons-nous
le verrouillage ?
Oui,
madame, la cible est un Victor furtif.
Il
ne l'est plus. Feu !
Des
deux canons frontaux, une avalanche d'obus propulser par des champs
magnétiques se projetère dans le vide. Une minute plus tard, la
sécurité désactiver. Ils croisèrent les laser de défense
adverse. Trois projectiles fondirent, deux s'impactèrent sur
l'ennemi. Déclenchant les ogives nucléaire miniaturisé. Dans un
nuage de feu, le Victor disparu.
Panne
du chargeur Un, puissance de feu réduite de moitié.
Ré-orienter
nous pour frapper les cibles bravo,charlie et delta.
Affirmatif.
Pataugement,
la frégate se retourna. Sa proue pointer vers la mort. A un contre
trois, un canon désactiver et la moitié des systèmes en panne,
aucune chance.
Elle
ferma les yeux, pourquoi sur elle et maintenant. Pas le choix.
Qu'une
question de minute.
Le
responsable des transmissions s'agita dans son coin.
Qu'est
se qui se passe ? Ils nous appelent ?
Négatif
transmission, prioritaire, cryptage UN.
Karen
se retourna, vers lui.
Si
elle aurait pu, elle se serait détacher pour le secouer.
Un
nouveau message apparut sur son écran, l'homme le fixa.
S'était
fini, et si ils n'avaient pas été aussi loin, si le retard des
transmissions n'avait pas empêcher la réception, le commandant sera
encore en vie.
Les
larmes aux yeux, elle observait l'approche des croiseurs sino-russe.