samedi 15 octobre 2016

Page blanche, brin de folie et mur...

Page Blanche..
Brin de folie 
et 
MUR...


15 Octobre 2016

Qu'elle titre bizarre pour se billet d'humeur n'est se pas ? ;)

Mais bon tout va bientôt se tenir...

Depuis une couple de mois je n'arrive pas a écrire de manière continu... Dans un cartable j'ai même le premier jet d'un roman de plus de 50 000 mots mais je bloque sur la correction et les modification profonde que je veux faire...

Fichu syndrome de la page blanche...

Pourquoi j'arrive pas a écrire ? Parce qu'a de rare occasion j'arrive plus a rester devant l'ordinateur plus de vingts minutes continu et parce qu'il manque quelque chose...

Quoi donc ?

En y réfléchissant bien, je fonctionne par période. On pourrait croire que s'est plus facile d'écrire quand on a la vie tranquille mais les périodes mes plus fructueuse en terme d'écriture brute ont tout le temps lieu alors que ma vie était surchargé entre le travail et mes autres activités.

Le tourbillon du travail me manque, croiser des gens qui parle de leurs passées, de leurs rêves, de leurs réussites, qui chialent contre leurs chums et leurs blondes, qui chialent contre la vie, contre le boulot et qui raconte des blagues salaces a faire rougir une nonne...

Certain(es) se reconnaitront peut-être :P

Se brin de folie dans ma vie me manque... Bon j'ai rencontrer depuis le début de mon chomage quelque personnes original ( se reconnaitront-ils ? ) mais ont est loin de l'abondance quotidienne...

Depuis quelque mois j'ai l'impression de m'heurter a un fichu mur, mes recherches d'emploi ressemble a un parcours dans le désert tellement je rencontre le néant... et les quelques lueurs d'espoirs se sont révéler des mirages...

Problèmes aujourd'hui tout les emplois nécessitent d'avoir de l'expérience en pré-requis même les trucs les plus simples. Quoi que je fasse j'ai l'impression qu'il aura toujours quelqu'un avec plus de bagages que moi...

Dans cette situation mon esprit a toujours tendance a se tourner vers le mystique plan Z...

Un truc bien martiniesque... ( pour ceux qui ne suivent pas mon blog depuis longtemps... martinesque expression voulant dire un plan de dingue 1 chance sur 300 trillions de réussite mais qui est extraordinaire si sa marche... jamais appliquer dans la vie réel mais en jeux vidéo sa donne des trucs dantesque... parler en a mon frère il en connait un rayon sur le sujet s'est lui qui a inventer l'expression )

En quoi consiste se fichu plan Z ? Et sa n'a pas de rapport avec les zombies malgré le marathon Walking dead que je fais s'est derniers jours...

S'est un vieux rêve, non pas celui d'aller dans l'espace ;)

Mais d'ouvrir un commerce de livre, revue et assimilé...

Bon ma branche familiale s'est jamais lancer dans se genre de truc, on n'est pas aventureux comme certain qui ont tenue des restaurants, un magasin de vêtements ou encore qui ont ouvert leurs propres école de Kung-Fu.

Et pourtant je caresse je fichu rêve et je me heurte a une réalité...

Je sais pas par quel bout commencer se projet...

Encouragé par un ami récent qui a tenu quelque conférence sur le développement personnel et les défis j'ai commencer une liste de quelque point qu'il me faut creuser...

Échantillion de la liste...

1. Quel nom donner au commerce ?
2. Comment et ou trouver des fournisseurs ?
3. Comment sa me couterais de partir se business ?

La liste est plutôt longue ;)

Et si se projet est plutôt dantesque vue mon niveau de connaissance du domaine il est pas si martinesque que sa... Car un plan martinesque si il est généralement compliquer est rarement aussi détailler que se que j'essai de développer.

La raison est simple, s'est parce ce que j'ai pas envie que sa plante.

Puis j'ai pas vraiment envie de partir la-dessus en solo... Pourquoi ???

Parce se que j'aimerai vraiment faire consiste a ouvrir les boites, déposer la marchandise dans les rayons, faire la rotation entre le vieux stock et les dernières nouveautés.

Je sous-traiterais bien tout le bazar de la gestion financière et des relations avec les fournisseurs a une tierce partie. Pourquoi ?

Pas juste parce que s'est la partie barbante du job. S'est que je me connais aussi.

Si j'en prend trop sur les épaules, mon niveau de stress va monter a un niveau stratophérique et on va se retrouver avec un Martin plié en deux par des douleurs dans l'estomac. La première fois que j'ai laisser les choses empirer a se point, j'ai failli être sortie de ma job en ambulance, j'ai passé deux semaine alité incapable de garder dans l'estomac autre chose que de la soupe et du jee-lo ( orthographe incertaine la... )

Dans les mois qui ont suivit j'ai passé des prises de sang a répétition et des examens médicaux dont certain inconfortable...

Depuis, je dois contrôler mon alimentation, j'esquive de mon mieux les situations stressante et je bois de l'eau perrier quand malgré tout mon estomac veux revivre une guerre nucléaire...

Rétrospectivement je me rend compte que je gérais bien la situation qui a provoquer tout se foutoir. Gérer ma plate-forme, former des gens a ma job, mais je me suis laisser dépasser par le stress et le chao ambiant...

Comme je disais, il s'agit d'un des rares rêves a ma portée ( j'en ai beaucoup, mais la plupart implique une technologie futuriste encore inexistante :P )

J'aimerai me lancer mais je sais pas par quel bout commencer...

Assez videz mon sac se matin... sa fait du bien de lancer sa dans l'univers :) 

Nouveau but de se blog servir de soupape ant-stress...

Bon moi je dois y aller, je dois me préparer car aujourd'hui je vais faire un des truc que j'aime... Passer des heures entourer de livres a chercher la pépite qui va me faire plonger des heures dans un univers parallèle imaginaire...

@+ et que la force soit avec vous...

samedi 1 octobre 2016

Mode Spécial Halloween....

SPÉCIAL 
HALLOWEEN


Décidément j'ai du mal a faire tourner de manière régulière se fichu blog ;)

Malgré tout, le 27 septembre j'ai connu un pic de visite a 148 visiteurs...

Mais qui peux bien visiter mon ptit blog tenu de manière bien irrégulière ? :P

Il y a quelque années j'avais publier une histoire d'horreur en plusieurs partie répartie sur tout le mois d'Octobre...

Il est temps pour moi de redonner vie a cette tradition perso.

Attendez-vous a du mystère, du suspense et a voyage dans un univers plongé dans le brouillard...

Avertissement, je suis un écrivain amateur qui préfèrent largement écrire de la science-fiction alors je suis pas vraiment dans mon élément :P

Maintenant Cap sur les... non s'est pas la bonne phrase.

Etes-vous prêt a plonger dans la nuit noire ? prêt a affronter d'étrange horreur ?

Prêt pour une histoire imaginaire qui pourrait être vrai ? :P

Non ! Tant pis pour vous !

Bonne lecture et a la semaine prochaine pour la suite !

La crique de la peur
par Martin Cazeault

P.1

Les vieux essui-glace peinait sous la pluie, a travers la lumière des phares je distinguais a peine la route cabossé couvert de nid de poule. Mon portable se mit a sonner et d'une main j’enclenchai le mode main libre.
- Allo?
- On va être en retard au resto Alex.
- Comment sa?
- Steven a pris du retard au bureau et dehors s'est un véritable ouragan.

Un éclair perça l'obscurité et sa lueur fantomatique fit apparaître un gigantesque nid de poule rempli d'eau. D'un coup de roue j’évitai l'obstacle. Je poussa un soupir de soulagement, j'étais pas sûre que la vieille chevrolet de papa aurait résister a se trou dément.

- On peut remettre sa a l'année prochaine sœurette.
- Non, tu descend si rarement de Washington et puis sa aurait été leurs anniversaire.

Des larmes se mirent a couler sur mon visage, embrouillant encore plus ma vision. Je me rangea le long de la route et arrêta le moteur. La pluie tambourinait sur la voiture. Le vent venant de l'océan hurlait autour de moi me ramenant une décennie en arrière. Au large des bateaux de pêche devait affronter la tempête se dépêchant de rentrer au port avant qu'une vague traîtresse les fassent chavirer, une vague comme celle qui avait fait disparaître nos parents.

- L'océan est en colère se soir.
- Sa va Alex?
- Ouais je me rappelais juste le passée.
- Steven arrivent, on va avoir peut-être bien une demi-heure de retard. Sois prudente, on arrivent.
- A tantôt.
Elle raccrocha, la ligne grésillait dans le noir de l'habitacle. Je ferma mon portable et fit tourner la clé de contact. Le moteur crachotait comme s'il était a moitié noyé par la tempête, puis il se mit a ronronner comme la belle machine qu'elle était a mes yeux. La lueur des phares tremblaient a travers les trombes d'eau qui arrosait la route. Il était temps de repartir.

Je lança la voiture a l'assaut de la tempête et j'y voyais rien. Par moment même la route semblait disparaître dans une noirceur totale.
- S'était peut-être pas une bonne idée. Pourquoi chaque fois que je reviens dans la région on dirait qu'un ouragan veut arracher la côte?
Oui parfois je me parle tout seul.

Une ombre traversa le chemin, de toute mes forces j'appuya sur le frein. Les pneus crièrent, une odeur de caoutchouc brûler envahi l'air. L'ombre se figea devant la voiture. J'hurla, un cri sembla me répondre, puis un choc secoua la voiture qui s'arrêta enfin.

L'ombre avait disparu. J'haletai, l'adrénaline refluait dans mes veines. J'ouvris la portière, qu'est se que j'avais touché?

La pluie me trempa instantanément. Le vent hurlait dans mes oreilles et hors de l'espace éclairer par les phares il faisait nuit noire. Alors que je m'approchais de l'avant de la chevrolet. Un grondement régulier me parvient malgré le vent. Je me tourna et j'entre-aperçue entre les trombes d'eau la lueur vacillante d'un phare solitaire. Une moto? Le phare s'approchait a toute vitesse, je sauta sur le coté de la route. Juste a temps, la moto me dépassa. Je me releva en jurant, couverte de boue et mouiller jusqu'au os.

J'en connaissais au bureau qui allait rigoler un bon coup en attendant le récit de mon week-end.

Je remonta sur la route et me dirigea de nouveau vers l'avant de ma voiture. A travers les lueurs de phare j’aperçus une forme recroquevillé enveloppé dans des guenilles.

- Sa va aller?

Je me pencha vers elle, car oui cette forme coucher sur le sol était une jeune femme. Une ado terrifier. Elle tourna sa tête vers moi, ses yeux étaient écarquillé par une sainte terreur.
- J'appel les secours.
Je sorti de ma veste mon portable et l'ouvrit. Merde l'écran était tout noir, quelque chose avait du se briser lors de ma cascade improvisé. Une main serra mon bras, elle était forte pour une gamine.
- J'ai rien de briser madame, aider moi juste a me relever et je vais rentrer chez moi.

Je la redressa, effectivement elle tenait bien debout et semblait bien aller malgré qu'elle devait être encore plus tremper que moi.
- Laisse moi juste te reconduire au village, je m'arrête au Whale'Creek. La tu pourras appeler tes parents et en les attendant je vais te payer un chocolat chaud.
- Merci madame.
- Laisse tomber le madame, moi je pourrais être ta grande sœur. Je suis Alex.
- Tabatha, je m'appel Tabatha.

On grimpa dans ma voiture. Les sièges de cuir allait avoir besoin d'un sacré nettoyage après se week-end.

- Je vous avais jamais vue auparavant, vous êtes de la région Alex?
- J'y suis née.
Elle sursauta, puis son visage pris un air de marbre.
- Il y a pas grand monde dans le coin, je vous ais jamais vue.
- Moi et ma sœur ont a quitté le coin il y a dix ans. Ont a passé une bonne partie de notre adolescence sur la côte ouest.
- Vous êtes une Whitemore.
Son masque se fissura une seconde prenant une allure a la fois surprise et intéressé. Puis le marbre refis son apparition.
- Tout le monde connaît votre histoire. Une des plus vieilles famille de la région, une famille dont l'histoire remonte a la guerre d'indépendance, puis la mort tragique de vos parents et la disparition des dernières Whitemore emporté par les services sociaux.
- S'est de l'histoire ancienne.
- Est-se que vous avez un truc pour m'essuyer?
- fouille dans la boite a gant.

Elle ouvrit la boite et son contenu se déversa sur ses genoux.
- Désoler.
- S'est pas grave, je devrais faire le ménage un jour.
Lentement elle se remit a ranger mon fouillis.
- Vous avez une arme?
Elle tenait dans sa main l'étui de mon arme de secours.
- Ha merde, j'ai oublier de la laisser au bureau. Peux-tu la ranger? : Je me retourna vers la route.
- Non.

Je sentis le canon du pistolet qui appuyait sur mes côtes.
- Au croisement de la rue principal tu prend la route du vieux phare.
- Pourquoi?
- Alex, on va faire un tour dans le passée, corriger une erreur et me sauver ma vie.

La tempête hurlait sa colère autour de nous, on aurait dits qu'elle avait une volonté propre.
- Pas d'entourloupe ma grande, je veux pas te tuer. Pas tout de suite tout de moins.


Dans qu'elle pétrin étais-je tomber?