vendredi 16 novembre 2012

ACTIVITÉ LITTÉRAIRE
DOGFIGHTER
OPERATION PHENIX
P.1
 
Quand j'ai une idée en tête j'écris a cent mille a l'heure. Se qui suit est la suite directe de l'histoire dogfighter d'hier. Si s'est la suite pourquoi se texte s'appel opération phénix p.1 ?
 
S'est parce que je considère dogfighter comme un essai, une histoire imparfaite alors qu'opération phénix va littéralement déchirer !
 
Bonne lecture !
 
A+
 
Dogfighter opération Phénix P.1

Une pluie froide tombait sur New Chicago, au loin les derniers éclat du soleil brillait autour des gratte-ciel de verre. A l'ombre de ses grand édifices, un quartier entier se prélassait dans l'obscurité. Utopia projeta ses derniers rayons de lumière avant de se coucher a l'horizon. Une voiture s'arrêta devant un bar mal famé du bas quartier. Il y a plus d'un siècle des colons américains avaient débarquer sur Utopia 3 et avait bâti un réseau de ville inspirer des agglomérations mythique de la Terre. A des années-lumière de là, la Terre toujours vivante abritait toujours une humanité mais des décennies auparavant l'Alliance avait décider de déplacer son centre nerveux vers un monde plus centraliser par rapport a l'espace colonisé.

Un nuage de fumée flottait dans l'air du bar, alors que deux agents fédéral y entrèrent en fouillant du regard les lieux. Visiblement ils cherchaient quelqu'un. Leurs yeux s'arrêtèrent sur un homme assis seul tout en arrière. Ils s'approchèrent en ignorant le regard de la faune local et prirent place devant l'inconnu. L'homme leva même pas la tête, il fixait le fond de son verre vide.
- Monsieur Harrison, le commandant Jarkman aimerait vous parlez.
- Que me veux le chef de la sécurité fédéral ?
- Je l'ignore capitaine.
Enfin Harrison leva la tête.
- J'ai démission il y a six mois.
- S'est pas se que dits mes papiers monsieur.
- J'imagine que je n'ai pas le choix ?
- Monsieur, désoler mes nous avons nos ordres.
Harrison lentement se leva, lâchant sur la table un billet de vingts crédit.

********

La lumière du soleil rouge, se réfléchissait sur le sable de la court aveuglant tout ceux qui ne portait pas de lunettes protectrice. La chaleur était a son sommait, au fur et a mesure qu'ils transpiraient leurs sueurs s'évaporaient. Sa faisait des heures qu'ils se tenaient debout sans bouger. S'était une punition, la nuit dernière un gardien s'était fait tabasser. Justement un gardien passa devant la première rangé, vidant devant tout le monde sa gourde sur le sol. Trois personnes finirent par s'évanouirent et tombèrent face a terre, quand leurs voisins se penchèrent pour les aider un choc électrique traversèrent leurs corps en passant par leurs colliers de contrôle.
- Vous allez me donner le nom du responsable, nous allons y passer la journée et même la nuit s'il le faut. Vous pensez que vous allez aimer le froid de cette nuit ? Vous allez voir.
Il continua sa ronde, au hasard appuyant sur un bouton d'une télécommande. Chaque fois qu'il appuyait, un prisonnier s'effondrait sous un choc électrique. Puis alors qu'il s'arrêtait devant un homme qui se contorsionnait sur le sol brûlant suite a une décharge une jeune femme bondit des rangs, renversa le gardien et se mit a le frapper de toute ses forces. L'homme portait une armure intégral et climatiser. A l'intérieur, il riait des piètres effort de son assaillante. Que pouvait-elle faire en le frappant a main nue ? Puis elle ramassa une pierre au bord tranchant et se mit a tenter de l'enfoncer dans la jonction entre son casque et son coup.
- Hé les gars, vous devriez neutraliser la détenue 413. Maintenant !
Un choc électrique traversa le corps de 413, la sonnant. Elle tomba sur la poitrine du gardien. Il se releva en grognant et repoussa la détenue groggy sur le sable. Il se mit a donner des coups de pied sur elle en criant.
- Vous êtes tous des ingrats, sans nous vous serez mort. Vous allez voir se qu'ont fait au tête brûlé.
Une escouade sortit de la forteresse et encerclèrent la zone. Tout les détenues tombèrent au sol victime d'une décharge général.
- Sergent arrêter de frapper la détenue 413. Vous connaissez les directives ?
Le gardien donna un dernier coup et entendit un craquement.
- Oui monsieur, je crois qu'on devrait l'amener a l'infirmerie.

La salle la plus propre et la moins occupé de la forteresse était l'infirmerie. Rare étant les prisonniers qui y était amener et encore plus rare les gardiens qui généralement était transférer a l'hôpital de la base planétaire situer a près de mille kilomètre de là. Le docteur se pencha au-dessus de sa nouvelle patiente, répandant un baume anti-brûlure sur sa peau. Déjà des nano-robot réparait ses côtes cassées...Le directeur de la prison entra et s'approcha.
- Je peux lui parler docteur.
- Faite comme chez vous, monsieur.
Le docteur s'éloigna laissant le directeur seul avec la détenue.
- Vous avez encore faite des siennes aujourd'hui miss.
- Vous l'avez bien chercher, je veux parler a un représentant de mon ambassade.
Il soupira, toujours le même discours. Elle était aussi têtue que belle et jeune.
- Jamais l'Alliance vous cherchera ici, vous devriez vous y faire. Vous allez passer le restant de vos jours entre ses quatre murs. Avez vous réfléchissez a mon offre ?
- Non, pas question.
- Tant que vous vivrez mon offre tiens toujours. Pensez-y bien, jamais personne ne viendra vous chercher ici. On est allié après tout.
Il se leva, jeta un dernier regard vers la jeune femme et sortit.
- Il me pense prisonnière, je vais lui montrer comment on gère sa dans la flotte : murmura la détenue 413...

*******
Les deux agents fédéraux poussèrent Harrison sur un fauteuil de cuir en face d'un bureau en bois massif. Le commandant Jarkman assis de l'autre coté le regarda droit dans les yeux.
- Habituellement j'offre un verre a mes invités mais vous m'avez l'air d'en avoir déjà assez pris. Si un de mes subordonnés n'aurait pas sortit votre nom je vous aurais jamais sorti de votre bistrot.
- Vous me voulez quoi ?
- Votre aide.
Et en plus il avait l'air sérieux, mais le directeur du plus puissant services de sécurité de l'alliance devait toujours avoir cette air là.
- En quoi, un ivrogne doublé d'un couard pourrait vous être utile ?
- Nous formons une escadre pour une opération spécial et nous avons besoin d'expert comme vous.
- Demander a la flotte.
Jarkman sortit de son bureau un verre et une flasque de whisky. Il s'en servit une rasade et avala le tout d'un trait.
- La flotte est infiltré, noyauté par ceux qui sont derrière les attaques pirates des derniers mois. Je connais votre dossier, dite moi pas que vous voulez pas venger la mort d'Alpha 2 Kat Mayers.
- Vous me servez un verre et je suis votre homme.
Jarkman sortit un autre verre et il versa du whisky dabs les deux verres.
- A Kat : Harrison leva son verre avant de tout avaler.
- A miss Mayers : répondit Jarkman.

A suivre...


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