dimanche 16 mars 2014

Activité littéraire- New America

Cette après-midi j'ai commencer a travailler sur une nouvelle pour un concours littéraire ( les milles mots de l'ermite )

Alors que je la termine je me rend compte que...

1. Sa fait une excellente intro pour une histoire bien plus grosse qui hante mon cerveau depuis un an...

2. J'ai trop de mots pour participer au concours :) 150 mots de trop Argh !!!!!!!!!!

Sa me tente pas de couper ;) Mais sa me tente de partager se bout de texte avec vous !

D'ailleurs cette semaine je vais essayer de passer une heure par jours sur cette histoire pour voire où sa me mène :P

Bon bonne lecture !


NEW AMERICA



Prologue



Je laissais une trainée de sang alors que je rampais entre les rayons de se fichu supermarché et pourtant tout semblait normal quand nous avons brisée la vitre de l'entrée. Personne n'avait réagi et nous sommes entré pour récupérer du stock. Bon voler, je sais sait pas bien mais depuis une semaine la notion du bien et du mal était passé au second plan. Avec un panier d'épicerie moi et Mary nous nous sommes diriger vers l'allée des produits secs. Trois voyage sans histoire jusqu'au vieux camion ford mais le quatrième avait tournée au cauchemar. Avec une grimace de douleur je tapotais le sol a la recherche de mon 38 ou du couteau qui quelque minute plus tôt m'avait taillader. Je suis vraiment un idiot fini et je tournais en rond dans le noir. Autour de moi j'entendais des rires on aurait dit une bande de hyène attendant que la proie meurent au bout de son sang. Mary avait peut-être réussi a s'enfuir et a avertir un adulte. Des coups de feu sonnait dans l'air comme un orage lointain, 7 jours que se bruits résonnaient dans les rues déserte. Sa commençait même a devenir routinier malheureusement la fusillade était lointaine donc se n'était pas la cavalerie qui arrivait pour me sauver.



Bang, la face droit sur une botte. Je leva le visage vers le plafond et je vis le visage fou d'un homme hirsute.

  • J'ai trouver de la vermine les mecs.

Une petite troupe m'encercla et deux des motards me levèrent. Je serra les dents alors que la douleur au ventre s'enfla. Rester debout, les regarder droit dans les yeux.

  • J'aurais préférer trouver l'autre moi.
  • Lui a plus de chaire sur les os.
  • Miam, miam.

Un des motards se lécha les babines. J'étais tomber sur une vrai bande de malade un des hommes portaient un collier fais de dents. Des dents bien petite bien trop similaire a celle que je mettais sous l'oreiller pour la fée quand j'étais qu'un gamin. Sauf que je suis encore qu'un gamin au yeux de mon père. Un gamin de seize ans mais bon.

  • Dits ptit gars il y a tu quelqu'un d'autre que toi et ta copine ?
  • Je suis pas sa copine connard !

Ils se retournèrent tous vers la voix féminine et je tomba sur les genoux alors qu'ils me lâchaient.

  • On va bien s'amuser petite.
  • Sa m'étonnerait.

Ha non elle parlait sur le même ton que le jours où elle avait planter deux gars qui m'asticotait au primaire.

  • Si j'étais vous les gars je me mettrais a courir : murmurais-je.

Ils se mirent a rire et je ferma les yeux. Un revolver se mit a rugir, les bang résonnaient dans mes oreilles. Cinq coups rapide, je sentis des corps tomber autour de moi. J'entrouvris les yeux et fixa le regard vide d'un des motards. Un troisième œil sanglant me regardait.

  • Tu sais que je t'aime Mary mais tu aurais pu viser ailleurs.
  • La ferme Martin tu peux te lever ? Il peut en avoir d'autre.

Je pris une grande respiration et je me releva. Trois seconde plus tard j'haletai au sol couvert de sueur.

  • Ils m'ont pas rater.
  • Qu'elle idée aussi de leurs sauter dessus en criant comme un malade.
  • Je voulais juste te protéger.

Elle s'approcha de moi, mit son épaule sous mon bras et me leva. En clopinant nous nous dirigeons vers la sortie.

  • La prochaine fois laisse les moi d'accord.
  • Aucun problème Mary.

On sorti dans le parking et Michaelson l'oncle de Mary sorti de l'obscurité son fusil de chasse bien visible.

  • Il s'est passé quoi ?
  • Martin s'est fait poignarder. Je crois que s'est au ventre.
  • Montons le dans le camion.
  • Je m'occupe de lui Mike.
  • Son père va pas être content.

Les deux ensemble me grimpèrent dans la remorque du camion. A la lueur d'une torche électrique Mary leva mon t-shirt taché de sang. Je vis une grimace sur son doux visage.

  • Arrête de me regarder comme sa.
  • Tu sais quand tu n'es pas occupé a frapper un gars ou a tirer tu es vraiment jolie.

Je poussa un petit cris alors qu'elle versait sur ma plaie un liquide tirer de la trousse de petit secours.

  • Comme sa je suis jolie ?
  • Je me corrige, même quand tu tabasse un gars ou que tu tire tu es belle comme une princesse.

Je me remis a crier alors qu'elle reversait de l'antiseptique dans ma blessure.

  • Arrête de bouger je vais te recoudre.
  • Sa pourrait pas attendre qu'on retourne au refuge ?
  • J'ai pas envie d'expliquer a ton père que tu es mort au bout de ton sang a cause que tu as peur des aiguilles. Inquiète toi pas je suis aussi bonne a la couture qu'au tirs.
  • Tu sais j'ai reçus un foulard de ta part a Noël...
  • La ferme.

Je serra les dents alors que je sentais l'aiguille me traverser la peau. Michaelson arriva avec le prof Harry et ils montèrent a l'avant.

  • Prêt au départ M et M.
  • Une seconde un dernier point a faire et je luis mets un pansement. Vous pouvez démarrer !

Le camion bondit sur le parking et se mit a zigzaguer dans les rues encombrer de véhicules en panne. De chaque coté les blocs d'appartement semblaient les surveiller et je me demanda se qu'il se cachait derrière les fenêtres. L'obscurité nous enveloppait et nous obligeaient a rouler lentement surtout qu'on gardait les phares éteint pour pas attirer l'attention. On quitta la banlieue et on monta sur la bretelle de l'autoroute. Au loin on apercevait New-York, des lueurs dansante éclairaient la base des gratte-ciels leurs sommets disparaissaient dans la nuits.

  • Je me demande qui a commencer la guerre ?
  • Peut importe vue que nous l'avons déjà perdu !
  • Moi j'aimerais bien savoir qui nous a planter ?

Mary se mit a pleurer et je la pris dans mes bras. Pour une fois elle me repoussa pas. Elle vivait chez son oncle depuis que ses parents tout les deux servants dans l'armée avait été tué dans une des guerres lointaine que l'Amérique avait mené.

  • Je me demande se qu'il se passe a New-York ?
  • Une autre guerre, s'est pas pour rien qu'on part vers le sud : murmura t-elle entre ses larmes.
  • J'aimerais savoir qui va gagner ? Je sais je pose trop de question.

Mary ne me répondit pas, elle s'était endormi la dans mes bras et je n'osais plus bouger.

  • Quoi que tu en pense je t'aime Mary et je vais prendre soin de toi.

Je leva la tête vers le ciel et les étoiles. Une étoile filante passa a travers le ciel et je fis un vœu.

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