dimanche 11 août 2013

ACTIVITÉ LITTÉRAIRE XENO TERRA

ACTIVITÉ LITTÉRAIRE
XENO TERRA...
 
Je vous présente en avant première le premier chapitre de Xeno Terra. J'ai beaucoup jongler avec le titre ;) Terre Étrangère, les étrangers, humanité déchu... etc ... Finalement j'ai opté pour XENO TERRA... Vous aller bien vite découvrir pourquoi :)
 
Je jongle aussi sur les noms de personnages... ;)
 
En parlant de tout et de rien. En pleine séance d'écriture il m'est venue une idée de scène et de personnage. Une illumination surprise trop belle pour ne pas en profiter. Je vous dirai pas laquelle a vous de deviner ;P
 
Bonne lecture ! Moi je vais m'occuper du chapitre 2 !!!
 
 
Xeno Terra
Nous ne sommes plus chez nous

CHAPITRE UN

Observatoire Ourobos Afrique du Sud

Le télescope géant pointait son œil vers les étoiles, aujourd'hui il allait observer les anneaux de Saturne. Assis devant l'écran de l'ordinateur de contrôle l'astronome Peter Sandorn réglait les différente caméras intégré au télescope. Un rapport apparu sur l'écran, un objet avait traverser le champ d'observation déclencher une série d'alarme automatique. En grommelant Peter afficha l'image de l'objet tout en avalant une gorgé de café. Il s'étouffa en voyant apparaître l'image d'un astéroïde. D'un coup d'œil sur la carte il vérifia la présence d'un astéroïde connu dans la zone et non il en avait pas. Un nouvelle objet céleste traversait le système solaire. En vitesse Peter recalibra le champ d'observation cherchant le mystérieux astéroïde. Il le trouva et verrouilla le télescope dessus. Automatiquement le système se mit a calculer sa trajectoire et sur un écran secondaire un pointiller apparu au large de Jupiter plongeant vers le cœur du système solaire. Peter brancha la caméra infrarouge et le spectromètre. Une chaleur diffuse provenait de l'intérieur de l'astéroïde. Une chaleur légèrement supérieur a celle de l'espace environnant. Les données provenant du spectromètre commencèrent a arriver. Cette caméra a pour fonction d'analyser la lumière provenant d'un objet pour déterminer sa composition chimique. Bon du carbone, un grand classique pour les astéroïdes et... De l'eau, le spectromètre détectait de l'eau en abondance et vue la température elle devait être sous la forme de glace. Se n'était pas un astéroïde mais une comète en sommeil. Quand la température monterait assez haut sa carapace de carbone se briserai libérant un panache de vapeur. Et il était le premier a la découvrir, la comète Sandorn ! Peter prit le téléphone un grand sourire s'épanouissait sur son visage. Tout les astronomes rêvaient de baptiser un nouvel astre de leurs noms. Une alarme se mit a sonner faisant tourner la tête de Peter vers l'écran secondaire. Son sourire se transforma en grimace alors que la trajectoire de la comète Sandorn s'arrêtait sur la Terre et se dans cinq mois. Il n'allait pas annoncer au monde une extraordinaire découverte non il allait annoncer sa fin.

Territoire du Nord Ouest Canada

Le fuselage du vieux DC-3 montait et descendait dans la tempête. Un éclair illumina le cockpit, les instruments s'affolèrent. L'aiguille du compas magnétique se mit a tourner dans tout les sens comme le gyrocompas.
  • On tombe en vrille : cria le pilote en proie a la panique alors que la neige bloquait toute visibilité.
  • Je sens pas le mouvement : cria Cindy Materson pour couvrir le rugissement du vent.
  • On va mourir : murmura le vieux pilote en lâchant le manche.
Aussitôt le DC-3 piqua sur le coté emporté par une bourrasque. Cindy appuya de toute ses forces sur les commandes tentant de reprendre le contrôle de l'appareil. Le mécanicien de bord entra en se retenant a une barre de métal aussi vieille que l'avion qui avait survoler la Normandie des décennies auparavant. Se qu'il vit le terrifia, Jackson pleurait dans son siège recroqueviller comme un bébé.
  • J'aurais bien besoin de coup de main : cria Cindy.
L'appareil se redressa, revient a l'horizontal pendant une fraction de seconde. Cindy souffla un bon coup mais ne lâcha pas le manche pour essuyer la transpiration qui coulait sur son visage. Une seule erreur et le DC-3 partirait dans le vent comme une feuille morte.
  • Jackson revient : cria le mécanicien, en voyant que sa n'avait aucun effet il le gifla une première fois puis une deuxième.
Un éclair frappa l'avion, les lumières s'éteignirent puis se rallumèrent. Une série de voyant d'alarme s'allumèrent.
  • Alerte feu sur le moteur Un, confirmation visuel ? : demanda Cindy
Mattew se pencha au-dessus de Jackson pour jeter un coup d'œil par le pare-brise. Pas de flamme, ni de fumée tout allait l'air bon.
  • Pas de signe d'incendie Cindy.
  • Température du moteur 1 Ok, pression hydraulique Ok. Matt enlève Jackson de là et prend sa place je tiendrais pas longtemps.
Sur les avions modernes tout est contrôler par ordinateur, le pilote n'a qu'a faire une légère pression sur le manche et les ordinateurs détermine quelle force appuyer sur les gouvernes pour diriger l'appareil. Sauf que le DC-3 est un vieille avion qui se pilote physiquement ses commandes de vol sont relier au gouverne par des câbles et Cindy bataillait dure pour le faire tenir en l'air. L'avion prisonnier d'un vent vertical grimpa d'un coup de plusieurs centaine de pied écrasant Cindy au fond de son siège alors que Mattew s'accrochait au siège de Jackson pour tenir debout.
  • Attention on va redescendre ! Mon dieu faite qu'il n'y ait pas une montagne. : cria Cindy
Le coup de vent s'épuisa et le DC-3 plongea a travers la tempête de neige et l'inconnu. Les pieds se mirent a défiler vers zéro sur l'altimètre alors que seul la ceinture de sécurité retenait Cindy a son poste. Matt s'envola dans le cockpit se forçant au silence alors que toute les fibres de son corps voulait qu'il crie. S'était pas le temps de crier et de détourner l'attention de la copilote Cindy Materson. Recroqueviller sur son siège Jackson restait amorphe alors qu'ils étaient tous a deux doigts de mourir. Cindy poussa les moteurs a puissance maximum la compagnie interdisait se genre de manœuvre sauf dans des cas extrêmes. Bon la situation actuel en faisait partie, l'alarme de proximité du sol se mit a sonner. Ils allaient s'écraser.
  • Aller Betty Bell remonte, remonte : murmura Cindy en disant le nom marquer au pochoir sur le nez de l'avion.
300 pied...
200 pied...
150 pied..
100 pied...
L'indicateur de vitesse de descente se stabilisa puis Betty Bell se mit a remonter dans le ciel
  • Oh mon dieu, je crois qu'on va avoir des éraflures sous les ailes : dits tout haut Cindy.
  • Comment sa ? : demanda Matt alors qu'enfin il détachait Jackson de son poste et prenait sa place.
  • Je crois qu'on est descendu a moins de 70 pied et j'ai vue des sapins passer pendant une fraction de seconde.
La tempête se calma, les vents baissèrent et Cindy put enfin se relâcher. Quarante cinq minute plus tard l'appareil se posa enfin et une ambulance vient se parquer a coté d'eux. Deux ambulanciers montèrent a bord pour s'occuper de leurs passagers. Un Inuit en attente pour une chirurgie cardiaque urgente, sa femme et l'infirmier. Appuyer sur un siège Cindy observait les ambulancier au cas ou ils auraient besoin d'aide pour descendre le patient. La femme de l'homme malade vient la voir et la serra fort dans ses bras.
  • Merci vous l'avez sauvez en l'emmenant ici malgré la tempête, je sais que normalement vous n'avez pas le droit de décoller par un temps pareil. Merci, Merci et si vous atterrissez de nouveau dans notre village vous serez toujours de bienvenue chez nous.
  • Je n'ai fait que mon boulot madame et je l'adore.
Les ambulanciers aider par l'infirmier descendirent l'échelle rendu glissante par la glace avec la civière et madame Amarok les suivit. Dés leurs départ Harrison entra dans l'avion. Le grand patron en personne. Sans un mots il entra dans le cockpit et une grosse dispute éclata dans le cockpit. Mattew en sortit cinq minute plus tard trainant Jackson encore secouer par le vol cauchemardesque. Les minces parois de cockpit avait a peine étouffé la colère d'Harrison. Il sortit et s'assis en face d'elle.
  • Bon boulot fille d'acier.
Et il parti la laissant là a réfléchir aux évènements des dernières heures. Mais maintenant elle avait un surnom et un qui sonnait bien.

Sydney Australie

L'eau montait lentement autour du navire alors qu'un gigantesque ascenseur le descendait vers la baie. L'eau montait autour des antennes du sonar puis passa au-dessus des hélices.
  • Hâte de prendre la mer capitaine ?
Le capitaine Steven Collins se tourna vers le lieutenant Samantha Chamber.
  • Un nouveau navire s'est toujours une bonne raison pour aller en mer lieutenant.
  • Surtout quand il s'agit du premier exemplaire d'une toute nouvelle classe monsieur.
Sam était son officier navigateur, elle connaissait les fonds marin comme personne et une lueur illuminait ses yeux. Certainement qu'il avait la même en regardant le HMAS Télès descendre pour la première fois dans l'eau. Avec ses quatre-vingt mètre de longueur il dépassait quasiment de trois mètre ses prédécesseurs de classe Collins. Ses dix mètres de largeur le rendait aussi plus légèrement plus gros. Malgré sa le Télès serait quand même plus rapide, mieux armé et surtout plus silencieux.
  • Il y a un truc qui me tracasse capitaine ?
  • Quoi donc Sam ? : bon il était pas a bord et le Télès serait officiellement a lui que demain. Donc autant laisser tomber le grade pour quelque minute.
  • On va avoir beaucoup de bleu a bord pour la première croisière. Un bon tiers de l'équipage va être composé de novice qui sont jamais aller en immersion sauf en simulateur.
Lui aussi avait soulever la question a l'amirauté, sur quarante hommes d'équipage quinze n'avait jamais plongé. Au moins on lui avait le choix de ses officiers et il avait pris les meilleurs.
  • Le navire est entièrement automatisé et nous sommes pas près d'entré en guerre lieutenant. Tout va bien aller lieutenant.
  • Oui monsieur.
Et s'était vrai que l'équipage aurait peux de chose a faire, si on aurait laisser faire les ingénieurs il n'aurait pas eu de place pour faire entrer une souris a bord et le navire se dirigerait tout seul. Mais seul l'homme pouvait prendre certaine décision et on était jamais a l'abri d'un bogue du système où des accidents. Sa faisant trente ans qu'il était dans les sous-marins et de plus en plus sa ressemblait a un jeux d'ordinateur. Parfois il se sentait vieux, une nouvelle génération de marins embarquaient et le lieutenant Chamber était bien plus proche d'eux du haut de sa quasi trentaine. De la génération Nintento comme certain les appelaient.
  • Vous savez monsieur, j'ai moi aussi une console de jeux.
  • Parfois lieutenant vous me faite peur on dirait que vous faite de la télépathie.
  • S'est votre visage qui vous trahi capitaine et je vous connais bien capitaine moi j'ai hâte d'avoir une centaine de mètre d'eau au-dessus de nous monsieur.
  • Je vous comprend lieutenant, je ressens l'appel du large et des baleines.


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