ACTIVITÉ LITTÉRAIRE
VIE STELLAIRE
J'adore écrire de la science-fiction... ( refrain connu non ??? ;) )
Aujourd'hui je vous livre le premier chapitre d'une nouvelle histoire. Je travaille sur un truc légèrement particulier, une sorte d'hommage a certaine série que j'ai vue a la tv et que j'ai lue. Voyons voire si quelqu'un va deviner lesquelles m'inspire. Plus l'histoire va avancer et plus sa devrait être facile. Je prévois plusieurs semaine d'écriture sur se texte.
Bonne lecture !
VIE
STELLAIRE
Chapitre
Un
La porte du
bureau coulissa avec silence laissant passé un jeune homme qui se
planta au garde a vous devant son supérieur.
- Lieutenant Harlan au rapport monsieur.
- Assoyez vous lieutenant et je crois que les félicitations sont de rigueur.
- J'ai reçu le message se matin nous avons eu une petite fille.
Le capitaine
ouvrit un tiroir de son bureau et en sortit deux cigares.
- Pour l'instant nous allons oublier les règles concernant la sécurité incendie et fumer ses deux cubains.
- Merci capitaine mais je dois vous parler d'un truc.
En un tour
de main le capitaine alluma son cigare alors qu'Harlan jouait avec le
sien.
- Lâcher le morceau lieutenant.
- Je vous remets ma démission, dés la fin de cette campagne je retourne a la vie civile.
- Avoir un enfant change votre façon de penser mais vous devrez réfléchir la carrière militaire offre beaucoup d'opportunité. Prenez un congé parental et discuter en avec un conseiller.
- Monsieur j'ai rencontrer un avocat du JAG.
Donc il
avait craquer Girsy secoua la tête sa devait bien arriver un jours
mais il avait espérer que sa n'allait pas être un de ses meilleurs
pilotes qui craquent.
- Que leurs avez-vous dits ?
- La vérité sur les black-ops, les missions qu'on reçoit en plein vol et qui sont pas autorisé par le commandement officiel. Je peux pas vivre avec certain truc que nous avons faits.
- Je vous ait dits que ses missions avait été autorisé par les plus hautes instance de l'Alliance.
Harlan se
leva, rangea le tiroir dans une de ses poches et regarda droit dans
les yeux le capitaine Girsy.
- Je vois crois pas monsieur et le JAG va enquêter sur ses opérations. Je leurs ai donnés mes enregistrements de vol comme preuve. Dans trois missions nous rentrons chez nous et nous serons juger pour se que nous avons faits.
Harlan fit
un dernier garde a vous puis quitta le bureau sans un regard en
arrière. Alors que la porte se refermait Girsy composa un numéro
sur son communicateur.
- Liaison crypté enclenché code Omega-33-Yvon.
Une série
de bourdonnement se firent entendre a travers le communicateur alors
que le système établissait une liaison crypté.
- Colonel nous avons un problème sur les bras ou plutôt deux...
Des regard
froid comme le vide cosmique passait sur lui. Tous avaient appris son
prochain départ et certainement entendu parler de l'enquête du JAG.
Il aurait pu demander son transfert ou tout simplement de ne plus
voler mais quoi qu'ils pensent s'était ses frères et sœurs d'arme.
Si quelqu'un mourrait aujourd'hui a cause de son absence il s'en
voudrait toute sa vie.
- Mesdames et messieurs aujourd'hui il s'agit peut-être de notre dernière mission dans le système Ansion. Les rebelles sont aux aboient et on regrouper leurs dernières forces au point lagrange L5. La flotte va effectuer un saut général sur la cible et les forcer a se rendre. Si ils refusent notre offre généreuse nous seront en pointe de lance avec pour mission d'abattre les bombardiers. Des questions ?
- Oui monsieur, on va laisser se traitre voler avec nous ? : demanda Carlson.
Ce gars
avait été son ami et dans son regard s'affichait une colère noir
toute entière diriger contre lui.
- Ses une mission pour un escadron a plein effectif. Si vous voulez je peux annoncer a l'amiral que les Tigres ne sont pas en plein effectif et on sera mis sur la touche ?
- Non monsieur, nous voulons y aller capitaine : s'écria Harlan.
- Merci lieutenant, malgré tout vous savez encore ou doit aller votre honneur. Bon suivez vos plans de vol et tout ira bien. Suivez votre leader et garder vos yeux sur l'objectif. Bon vol et bonne chance.
Tous se
levèrent et quittèrent la pièce. Alors qu'ils se donnèrent des
accolades pour se souhaiter bonne chance tous l'évitèrent comme la
peste. Cette dernière mission n'allait pas être commode. D'un pas
lourd il se dirigea vers le vestiaire pour mettre sa combinaison de
vol. Une alarme se mit a sonner a travers le pont, une alarme
incendie alors qu'une équipe d'urgence dévalait la coursive.
- Alerte incendie pont A, section douze évacuer la zone : annonça une voix a travers les intercoms muraux.
Bon s'était
a l'opposer de sa position et des hangars de lancement puis une idée
traversa son esprit. Il y était hier, la section douze abritait le
quartier des avocats et leurs bureaux. Un frisson glacé traversa son
dos. Comme un automate il entra dans les vestiaires et enfila sa
combinaison de vol. Par réflexe il vérifia sa réserve d'oxygène
et la trouva vide a moitié. Pourtant il était certain d'avoir fait
le plein après sa dernière mission. Discrètement sans jeter un
regard au autre il remplaça la bonbonne d'oxygène par une neuve. Le
capitaine entra dans le vestiaire.
- La mission est avancé, nous décollons dans quinze minute.
- On y va malgré l'incendie ? : demanda Carlson.
- La zone a été isoler et la situation est sous contrôle bien qu'il semble y avoir des morts dans la section JAG. Concentrer vous sur la mission.
Le capitaine
Girsy se retourna en jetant un dernier regard a Harlan. Un nouveau
frisson traversa son dos, ses yeux n'exprimait aucun sentiment. Sur
le pont d'envol, il posa la main sur le fuselage de son chasseur.
D'une douce caresse il vérifia que le fuselage était bien lisse et
que tout les compartiments technique avait bien été fermer. Il
grimpa sur l'échelle et s'assit sur le siège éjectable. En
appuyant sur une série de commande il activa la check-list
automatique. L'ordinateur lança une série de test sur les moteurs,
la navigation, l'armement et le système de survie. Une mécanicienne
monta sur l'échelle et l'aida a serrer son harnais. Elle se pencha
sur lui.
- Monsieur, il a des rumeurs qui cours. J'ai personnellement vérifier votre chasseur et si j'étais vous je ferais attention a mes fesses.
- Merci Kensi je vais surveiller mes six heures.
Elle se
recula et la verrière s'abaissa refermant le cockpit et isolant son
pilote. Les pinces s'abaissèrent, prirent entre leurs griffes le
chasseur et l'inséra dans la rampe de lancement.
- Lancement
de l'escadron dans soixante seconde : annonça une voix provenant des
hauts-parleurs alors que de nouveau appareils montaient des hangars
inférieurs pour se faire préparer au lancement. Kensi fit une
prière silencieuse pour les pilotes qui partaient au combat. Certain
ne reviendrait pas.
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