vendredi 25 janvier 2013

ACTIVITÉ LITTÉRAIRE
SPACE FORCE P.4
 
J'adore lire ( refrain connu ) j'aime beaucoup d'auteur ( tiens j'ai déja lu sa quelque part )
certain plus que d'autre... comme David Weber. Alors que je continu a accumuler des livres de la série Honor Harrington, que j'ai presque terminer de compléter cette série je réfléchis a mon écriture et j'admet que j'espère un jour atteindre le talent de Weber... En attendant se jours je vous livre la suite de Space Force. J'avoue que ma partie préférer se trouve dans la section que je vais copier dans pas longtemps...
 
Alors que Kat est revenue a peine vivante de sa confrontation avec les pirates, que les forces de défense du système se prépare a l'attaque, un ennemi surgit du passé. Ils n'avaient vraiment pas besoin de sa ! ;) Bon bonne lecture !
 
 
De l'hyperespace, les renforts surgirent sous la forme de quatre bâtiments de l'alliance. Un cuirassé et trois croiseurs lourd.
  • S'est tout ?
  • Nous recevons leurs balises d'identification, il s'agit de l'escadre du commodore Sarn.
  • Quand même pas, le salopard auquel je pense ?
Sue se tourna vers Iansow.
  • Pile lui et il demande la permission de monter a bord.
  • La journée va vraiment devenir pénible.
Debout, avec une escouade d'honneur, il attendait l'arrivé de la navette de liaison. Cinq minute de retard, pourquoi fallait-il qu'il tombe sur lui maintenant. Des années auparavant, il l'avait confronté, tenté de livrer la vérité et Sarn s'en était sortit. Kat n'y avait gagné qu'une sortie sans peine de prison. Elle l'avait attaqué pour se défendre, alors qu'il était ivre, un frisson courut dans son dos. Alors que la navette finalement se posait entre les chasseurs.
  • Garde-a vous.
Les hommes se mirent en garde pendant que la rampe s'abaissait. Le commodore descendit d'un pas volontairement lent.
  • Bienvenue a bord monsieur.
  • Capitaine.
Il observa, la rangé de soldat.
  • Repos. Monsieur si on allait dans mon bureau ?
  • Allons-y.
Le commodore s'assit a la place du capitaine et le fixa. Sue entra a son tours et s'accota sur le mur.
  • Je vois que vous avez réuni certaine de vos anciennes élèves.
  • Le hasard des affectations, monsieur.
Il jouait avec une ancienne pièce de monnaie, la faisant glisser d'un doigts a l'autre.
  • J'ai lu vos rapports. Et je les crois exagérer : énonça Sarn tout en trippotant sa pièce.
  • Ils ont des armes de catégorie militaire, je n'ai aucun doute la-dessus.
  • Vous parlez de la dernière bataille ? La milice local ne dispose que de coque de noix.
Sue s'avança.
  • Commodore, ils disposent d'un bien meilleur matériel que vous ne le pensez. Et vue le nombre de navire que vous avez emmenez, nous avons besoin d'eux.
  • J'ai lu vos analyses de la menace et je n'y crois pas. Votre source n'a pas eu droit a un interrogatoire en règle.
  • Pour cause, elle est dans le coma.
  • En parlant de sa, je vais aller la voir.
Le capitaine et son second se regardèrent. Comment empêcher cette fichu visite, impossible.
  • Et même s'ils sont aussi nombreux que vous le pensez, mon navire amiral a les moyens nécessaire pour les repousser.
Le commodore se leva.
  • Pas besoin de me montrer le chemin pour l'infirmerie. Signaler au force local de se regrouper autour de Juno 3.
  • Oui monsieur.
Il sortit.
  • Qu'est se qu'il veut faire ?
  • Obtenir une dernière grande victoire avant la retraite.
Il marchait le long des couloirs, l'air recyclé des vaisseaux avait une senteur légèrement métallique, un rapport avec le taux d'oxygène et la faible quantité de poussière. La gravité plus faible soulageait ses vieilles articulations. Enfin l'infirmerie du bord. Couché dans un lit, une forêt de perfusion dépassait de son avant-bras. Sa chevelure autrefois blond comme le blé avait été coupé court. Le médecin passa prendre des données sur le scanner médical connecté a son corps.
  • Comment va-telle docteur ?
  • Commodore, elle va s'en sortir. Il faut juste laisser le soin au traitement biogénique de faire effet. Je déconseille de la réveiller monsieur.
  • Je vais juste m'asseoir un moment près d'elle.
Quelqu'un avait déposer dans un vase des marguerites naturel, ses odeurs remplissaient l'air. Un flot de souvenir envahi son esprit. Sa mémoire le ramenait a l'époque ou il servait a l'académie. Elle toute jeune aspirant, lui un capitaine en difficulté familiale qui multipliait les aventures. Il secoua la tête et pris la main de Kat.
  • Je suis désoler.
Son communicateur personnel se mit a vibrer dans sa poche.
  • Ici Sarn ?
  • Flotte hostile en approche de Juno 6. Les forces locale veulent les intercepter.
  • Négatif, transmettez leurs qu'on s'en occupent.
  • Oui monsieur.
Il remit la main de Kat sur la couverture.


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