mardi 25 septembre 2012

ACTIVITÉ
LITTÉRAIRE
LE TEMPS DES LOUPS
LA FIN : P
 
Bon je réfléchis a la fin de se texte depuis plus d'une semaine, j'espère que vous allez aimé !
Bonne lecture, moi je retourne jouer a World of Warplane.
 
A+
 
Le Temps des Loups
P.3
Une meute de loup entra, ils s'arrêtèrent a deux pas des hommes. John se retourna et pointa son arme vers la nouvelle menace. Ils grognèrent, mais restèrent immobile, de la bave coulèrent sur le sol. Des lambeaux de vêtements pendaient sur leurs dos.

  • Vous faites mangez des hommes a ses loups ?
  • Se ne sont pas des loups...
  • Sa y ressemble terriblement.
Un hurlement sinistre fit trembler les murs et John le ressentit jusqu'au cœur de ses os. La meute se mit a crier vers le ciel.
  • J'aime vraiment pas sa. Qu'est se que vous faisiez donc ici.
  • On étudiait une maladie.
  • Qu'elle maladie ?
Les loups bondirent vers les hommes désarmer. Un coup de feu retenti, une des créatures tomba sur le sol, touché sur le flanc par une balle. Ils s'arrêtèrent en grondant alors que le loup blessé se remit sur ses pattes.
  • Je l'ai touché et se truc est encore debout ?
  • Normal, se sont des loup-garou.
  • Sa n'existe pas !
Les trois gardiens se fixèrent, dans leurs yeux une chose se voyait. La certitude de mourir dans les prochaines minutes.
  • Vous êtes sérieux ?
  • Oui et a moins que vous ayez des balles en argent dans votre chargeur s'est fini.

La meute se mirent a grogner a l'unisson. Lentement ils s'avancèrent vers leurs proies. John se mit a tirer, arrosant la pièce, vidant son chargeur en vain sur les bêtes. Un des gardiens plongea vers un meuble, visiblement pour sortir quelque chose d'un de ses tiroirs, mais un des loups referma ses mâchoires sur une de ses jambes et tira sa victime hurlante a l'extérieur. Le deuxième homme renversa la table et tenta de reculer avec dans un coin pour se défendre. Un loup bondit par-dessus. Brandissant son arme comme un gourdin, John écartait les bêtes qui s'approchait trop près. Du coin de l'œil, il vit le dernier homme se faire déchirer la gorge.
  • Non,non,non... S'est pas possible.
Un nouveau loup entra, sa toison avait des teintes de roux brillante. Les autres bêtes se retournèrent et l'encerclèrent. Une bagarre général se déclencha quand ils se jetèrent tous sur le nouveau venu. La lumière s'éteignit brusquement, seul les éclairs des orages illuminait la scène barbare alors que le loup roux mordait avec férocité ses adversaires. De longues minutes d'horreur passèrent, la bataille avait lieu juste devant la seule sortie. Puis, un a un les loups-garous blessé se retirèrent. Seul la bête rousse resta, elle se tourna vers John et avança vers lui en boitant sur une patte blessé. Haletante, elle s'écroula sur le sol, de nombreuse plaie parsemait sa fourrure.

Quelque chose, le retenait de partir, cette animal lui avait sauvé la vie et il fallait encore qu'il retrouve sa sœur. Il se pencha et flatta le loup.

  • Je vais revenir.
John se mit a courir dans les couloirs, cherchant Amy, criant son nom.

L'orage passa, le soleil se leva a l'horizon quand il revient vers la salle de garde, déçue par ses recherche infructueuse. Quasiment en larme, il entra.

Elle était là, endormi sur le sol. Amy, sa jeune sœur, ses vêtements avait disparu mais des marques de morsure parsemait son corps et sa cheville gauche était tordu.

  • J'aurais du voire le coup venir, Amy on dirait bien que je ne suis pas le seul a avoir des ennuis.
D'abord lui trouver des vêtements, après la réveiller et lui conter la nuit dernière...

Trois cents kilomètre de la...

Un homme entra dans la chambre plongé dans l'obscurité par de lourd rideaux noire.
  • Qui me dérange dans mon repas ?
  • S'est juste moi monsieur.
  • Combien de fois vous ai-je dits de ne pas me déranger pendant mes collations ?
  • Une bonne centaine, mais s'est important.
Une ombre se leva, elle passa sa manche de chemise sur ses lèvres, l'homme trembla en voyant les gouttes de sang tomber sur le sol.
  • Qu'y a t-il ?
  • Votre projet d'armée est compromis, d'après les caméra de sécurité l'Alpha est mort et les cobayes se sont enfuie dans la nature.
  • Pourchasser les, sous formes humaines sa devrait être des proies facile.
  • S'est pas tout.
L'homme se tordait les mains en proie a une peur intense.
  • Quoi d'autre ?
  • Hier s'était la pleine lune et l'Alpha a mordu avant de se faire tuer par sa victime.
  • Un nouvel alpha, parfait. Retrouver le, nous allons pouvoir relancer le projet.
  • Plutôt une, monsieur.
  • Vous avez carte blanche pour la récupérer, maintenant laisser moi finir mon repas.

Il se retourna, un éclat de lumière se réfléchit sur ses crocs rougit alors que l'homme quittait précipitamment l'antre de son maitre.

THE END ?????????? ;P


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