samedi 14 avril 2012

Activité littéraire - WarTime la suite

Mon plus gros problème quand j'écris son les personnages, j'en ai trop qui se pointe et sa fini que je ne sais plus qui est le personnage principal... Exemple dans l'histoire que je vous fait partager sur mon blog, j'ai décider d'intégrer un perso pour montrer une vue rapprocher des combats dans Anchorage...

Se premier personnage, n'est pas destiné a devenir le perso principal, je destine se role a un lieutenant canadien. Mais d'ici que j'arrive a lui, l'introduire risque de devenir inutile vue que je risque de changer d'avis sur les évenements de se récits.... Bon je vous laisse avec une nouvelle page de Wartime A+

 ***

Anchorage 7h30

La nuit avait été longue, épuisante et stressante. Le moindre mouvement dans l'ombre semblait déclencher une pluie de balle. Et ils en avaient pleuvé cette nuit depuis leurs déploiement. Elle regarda autour d'elle, espérant qu'un de ses collègues, ou plutôt supposer amis étaient revenu. Il avait fallu d'un affrontement contre une colonne de blindé pour que son escouade de la garde national se débande. Personne n'avait été blessé mais la piètre performance des lances-roquettes les avaient convaincu d'aller retrouver leurs familles et de quitter la ville. En fermant les yeux, elle revoyait les missiles exploser sur les blindages sans aucun effet.

Normal, les armes de la garde national datait souvent de la guerre du viet-nam.

Amy, vérifia son chargeur, replaça une mèche rousse sous le casque, et redressa le M72 qui pendait dans son dos.

Elle reparti a courir dans le jour naissant, sur la radio elle avait capté un appel d'un bataillon de l'armé, il tenait le pont de l'autoroute Glen et allait le tenir le plus longtemps possible pour permettre l'évacuation d'un maximum de citoyen. Les rues étaient plongé dans le chaos, tout le monde voulaient fuir. Alors qu'elle passa devant la vitrine d'un magasin, on vit apparaître dans les téléviseurs l'image du maire d'Anchorage.

  • Mes chères concitoyens, reprenez-vous, rester chez-vous. J'ai reçus l'assurance du général Magliey que les forces sino-russe ne s'en prendrons pas a vous si vous ne résistez pas. Rentrer chez vous, j'ordonne au force de police et de la garde national de cessez toute résistance.
Qui allait écouter le message...

Certainement pas, se groupe de policier, masser derrière trois camions de l'anti-émeute et qui se faisait tirer dessus par la mitrailleuse d'un BMP russe. Il fallait faire vite, deux escouades se déployait pour leurs faire la peau.

Elle s'accroupit derrière le capot d'une voiture abandonné, sur le siège arrière, un berceau vide a part une poupée. Silencieusement elle prit le M72, arma le lance-roquette et l'appuya sur la voiture. Elle n'aurait droit qu'a un coup. Elle fit entrer le BMP dans son viseur, retint son souffle et actionna la détente. Le bang du tirs lui sembla étrangement étouffé alors que de partout venait des bruits d'explosion et des rafales d'armes automatique. Son tirs avait-il réussi ? Une fraction de seconde plus tard elle eu la réponse.

La vieille roquette frappa en plein milieu du BMP, le crack de l'explosion fut couvert par le tonnerre de l'essence qui s'enflamma instantanément. Soufflé sur le sol les russes eurent a peine le temps de se relevé qu'ils étaient pris sous le feu des policiers.

Leurs disciplines, leurs permit de ne pas paniquer, ils se mirent a l'abri la ou ils pouvaient et se mirent a répliquer de manière sporadique mais efficace. Personne n'avait remarquer d'où venait la roquette. Elle était a l'abri, mais si elle ne faisait rien, les policiers risquaient de perdre la vie. Fichu journée, Amy enleva le cran de sureté de son M16, et se mit a arroser ses adversaires. Un homme tomba sous son feu, trois types se retournèrent et firent tombé un déluge de feu sur son abri. Elle plongea derrière la roue, paralysé, toute retraite bloqué. Elle détacha une grenade, la dégoupilla, et attendit une pause dans le mur de feu... Fichu et stupide journée...


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire