mardi 17 juillet 2012

Physique Théorique et Activité Littéraire

Depuis 17h30 j'écris, la j'arrête a cause de l'humidité.

Je suis tomber sur une nouvelle intéressante sur Internet. Le cern, un des plus grand accélérateur de particule du monde a prouver l'existence du boson de higg. Pour la plupart des gens cette nouvelle veux rien rien. Sachez que les physiciens ont surnommé cette particule jusqu'ici indéctable la particule de dieu. S'est quoi sont importance ?

Sans elle, il n'a pas de masse, s'est elle qui est responbable, que le plus petit élément sub-atomique a une masse. Sans elle, les atomes composant nos corps ne collerait pas ensemble, nos pied toucherais pas le sol. ( Sérieusement, la gravité dépend de la masse des objets )

Sans elle l'univers n'existerait pas, ou tout le moins pas sous cette forme. Non sérieusement, il s'agit d'une découverte fondamental pour la physique théorique. Bien des questions reste encore sans response.

D'ou vient le Boson de Higg ?

Est-se qu'on peut le manipuler pour changer la gravité ?

Qui s'est si dans cents ans on voyage entre les étoiles, sa sera peut-être grace a un générateur d'Higg....

Bon fini mon trip de scientifique légèrement féler...

Passage a l'activité littéraire et les textes secondaires de Terra Pax. Cette nouvelle se passe environ 25 ans avant Terra Pax. Bonne lecture et n'hésiter pas a me faire passer des commentaires, par e-mail, facebook ou directement ici. A+ Et re-bonne lecture


Terra
Pax
Karen Mattew

Le tunnel ombilical, se replia a l'intérieur de la frégate légère USA Montcalm. Par le hublot, on voyait le navire médical allumé ses propulseurs et mettre le cap sur l'amas d'astéroïde OG4. Karen monta a ses lèvres son bracelet-com.

  • Transfert terminer, capitaine.
  • Remonter sur la passerelle Lieutenant Mattew.
  • Oui monsieur.

Elle remonta le long du corridor et grimpa quatre a quatre l'échelle. Dans la minuscule frégate, tout l'espace disponible était réserver au propulseurs et a l'armement. La douzaine de membres d'équipage y était a l'étroit, seul le commandant et son second disposait d'une cabine privé et encore la. Ils partageaient la même.

Se matin là, le second s'était mis a vomir du sang sur la passerelle. Un rapide passage a l'infirmerie et dans le scanner avait forcer le médecin de bord, qui était aussi ingénieur électronicien, a demander un transfert vers un batiment mieux équippé.

D'une dernière poussé, Karen entra sur la passerelle. Elle se rattrapa a une poignée du plafond et pivota vers le capitaine. Vive l'apesanteur.

  • Lieutenant Mattew au rapport.
  • Repos, miss, vous savez que je déteste tout le formalisme. Surtout après six mois de croisière dans se fichu champs d'astéroïde. Vivement que la guerre finisse.
La guerre qui déchirait tout le système solaire, de la Terre au colonie Jovienne. On murmurait que les différentes villes de Mars avait décider de former un gouvernement indépendant. Et déclarer leurs indépendance de la Terre. Les Marsiens ne voulaient plus voire leurs jeunes périr sur les champs de bataille terrestre.

  • Lieutenant, qu'elle était l'état de monsieur Mungrow ?
  • Son appendicite a empirer. Les médecins du Jonasburg vont bien s'en occuper.
  • Je n'en doute pas, lieutenant j'attendais le retour a la base pour vous annoncez cette nouvelle, mais vue les circonstances.
Tout les yeux se tournèrent vers elle, qu'est se qui se passe.
  • Félicitation Lieutenant-commandant pour votre poste de second.
  • Merci capitaine.
Un hourra général se souleva, même l'intercom s'y mis, tout le monde a bord avait entendu.

  • Je regrette juste que sa soit dans ses conditions, je ferais transférer a la réserve les effets personnel de Mungrow.
  • Si sa dérange pas monsieur, j'aimerais rester dans mes quartiers actuel.
  • S'est votre droit, essayer seulement de ne pas trop fraterniser avec l'équipage...
Le grade supérieur, sa devrait être un rêve ou un cauchemar, vue la manière dont le destin la lui avait donné. L'opérateur radar, plissa les sourcils, qu'elle que chose le tracassait.
  • Qu'est se qui a Radar ?
  • Les balises radar extérieur signale trois contact lointain. S'était a la limite de leurs rayons de détection, mais je peux estimer une trajectoire madame.
Madame, très étrange depuis qu'elle avait monter en grade.
  • Faite donc.
Il s'échina un bon trente seconde sur son poste, visiblement revérifiant ses calculs deux fois.
  • Ils devraient atteindre OG4 dans quinze heure. Et nous sommes le seul navire en position d'intervenir.
  • Tout le monde passez au poste de combat. Nav calculer une manœuvre d'interception. Miss Mattew, faite armer les canons atomique.
  • Oui monsieur.

En combinaison blindé, répartie entre la passerelle, la passerelle de secours et la salle des machines, tous attendaient la bataille a venir. Les canons frontaux, leurs chargeurs bourrés d'obus atomique étaient en attente comme les lasers défensifs.

  • Status de la passerelle de secours, second ?
  • Tout est prêt monsieur. Une question commandant ?
Le voyant lumineux indiquait qu'il était sur le canal privé.
  • Allez-y Karen ?
  • Des nouvelles de la Terre ? Comment avance la guerre ?
  • J'en sais pas beaucoup plus que vous, mon frère a beau être général, je n'entend que des rumeurs.
  • Des rumeurs positives ?
  • On parle de bataille final. Retour sur le canal général, il apparaisse sur le radar principal.

Sur l'afficheur, régler sur le radar, apparut les silhouettes des trois navires hostiles. Un Kraken V et deux Rashi B. Sa allait chauffer.
  • Canon paré a ouvrir le feu.
Rien a faire pour l'instant, tant que la passerelle principal restait opérationnel, ils devaient croiser leurs doigts et observer. Au mieux, elle pouvait conseiller le commandant.

Un écho parasite, apparut juste a la limite de la zone de couverture, disparue et revient avant de nouveau disparaître.
  • Radar Deux, je veux un balayage au Lidar sur le secteur Bravo-168.
  • Oui, lieutenant.
  • Qu'est se que vous faites second ?
  • Je vérifie un truc cap.
Le lidar, un radar utilisant un laser, lança une série de rayon dans l'espace.
  • On a un retour d'écho, objet symètrique.
  • Bon travail second, changement de la cible prioritaire.
  • Alerte détecteur thermique, missiles multiples en approche.
  • Défense laser sur actif.
Les huit émetteurs défensifs arrosèrent les alentours, les ogives explosèrent, couvrant le secteur d'éclat.
  • Impact éminent.
  • Tourner nous vers la cible alpha. Verrouiller la cible.
Une série de choc secoua le Montcalm, le tableau des dégâts s'illumina comme un arbre de noël.
  • Nous avons perdu le contact avec la passerelle.
  • Transfert des commandes.
  • Avarie au système de survie, réacteur un a l'arrêt.
La littanie des dommages s'allongeait.
  • Avons-nous le verrouillage ?
  • Oui, madame, la cible est un Victor furtif.
  • Il ne l'est plus. Feu !
Des deux canons frontaux, une avalanche d'obus propulser par des champs magnétiques se projetère dans le vide. Une minute plus tard, la sécurité désactiver. Ils croisèrent les laser de défense adverse. Trois projectiles fondirent, deux s'impactèrent sur l'ennemi. Déclenchant les ogives nucléaire miniaturisé. Dans un nuage de feu, le Victor disparu.

  • Panne du chargeur Un, puissance de feu réduite de moitié.
  • Ré-orienter nous pour frapper les cibles bravo,charlie et delta.
  • Affirmatif.
Pataugement, la frégate se retourna. Sa proue pointer vers la mort. A un contre trois, un canon désactiver et la moitié des systèmes en panne, aucune chance.

  • L'équipe d'ingénierie est entrer sur la passerelle. Le capitaine est mort madame.
Elle ferma les yeux, pourquoi sur elle et maintenant. Pas le choix.
  • Préparez-vous au combat. Je veux une trajectoire aussi erratique que possible quand nous allons entrer a porter de tir.
  • Compris madame.
Qu'une question de minute.

Le responsable des transmissions s'agita dans son coin.
  • Qu'est se qui se passe ? Ils nous appelent ?
  • Négatif transmission, prioritaire, cryptage UN.
Karen se retourna, vers lui.
  • Qu'est se qu'ils disent ?
  • Sa se peux pas.
  • Ils disent quoi ?
Si elle aurait pu, elle se serait détacher pour le secouer.
  • S'est la paix, la guerre est terminer.
  • Quoi.
Un nouveau message apparut sur son écran, l'homme le fixa.
  • Le haut-commandement signale qu'un cessez de feu immédiat a été décider. A 18H GMT, il y a deux heure.
S'était fini, et si ils n'avaient pas été aussi loin, si le retard des transmissions n'avait pas empêcher la réception, le commandant sera encore en vie.

  • Désactiver l'armement, communiquer aux bâtiments en approche que nous avons besoin d'assistance.
  • Oui, capitaine.
Les larmes aux yeux, elle observait l'approche des croiseurs sino-russe.



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