ACTIVITÉ LITTÉRAIRE
INVASION
Tiens je poste aujourd'hui l'équivalent de deux jours d'écriture sur le projet invasion. L'histoire avance lentement mais surement. Bonne lecture !
Chine Port de Ganhzou
- Aller les gars plus vite, décharger moi se pont !
Sur la rampe de
débarquement une douzaine de blindé a roue tentait d'atteindre la
terre sans tomber par-dessus bord.
- Compagnie Bravo vous avez quarante cinq seconde de retard, Charlie et Delta attende après vous : continua a crier le maître de manœuvre.
Le roulier Xianga se
tenait aussi immobile que possible le long du quai s'était le
dernier grand exercice que la division effectuait et le tout devait
être terminer avant le passage du prochain satellite espion
américain. Une dizaine d'autre navire déchargeait le restant de la
division le long des quaies. Sur la passerelle le général Xi
surveillait les opérations.
- Que pensez-vous de l'exercice général ?
- Trop long, décharger la division devait prendre une demi-heure et nous en sommes déjà a quarante cinq minute.
- Vous avez raison mais au moins le bataillon héliportée a sécuriser la zone dans les temps.
Le général baissa ses
jumelles malgré le retard il pouvait être fière de sa division qui
serait le fer de lance de l'opération Empire Rouge. Son nom allait
rester dans les annales. Il aurait préférer faire partie de la
première phase celle charger de réunifier la nation mais son
objectif était tellement plus ambitieux. S'en en était excitant.
- Le commandant du bataillon héliportée se pose des questions sur sa cible monsieur.
- Qu'elle genre de question ?
- Le nom du port ciblé, s'est plan corresponde pas selon lui a aucun port qu'il a visiter lors de ses infiltrations.
- Il connaitra notre cible au même moment que les autres commandant lorsque nous seront en pleine mer.
- Oui monsieur.
Un peloton d'infanterie
passa devant sa position aux pas de course les armes a la main mais
sans munition. Il consulta sa montre, l'exercice serait bientôt
terminer plus que vingt-cinq minutes avant le passage de l'espion
américain. Un de ses hommes, un lieutenant faisait des recherches
sur son portable. Sur un coté de l'écran apparaissait une copie des
plans du port cible et sur l'autre une page de google earth.
Patiemment il cherchait a découvrir leurs cibles. Mais avec les
milliers de ports dans le monde la tâche pouvait bien se révéler
impossible.
- Je crois que j'ai trouvé.
- Et s'est ou ?
Le lieutenant tourna son
écran vers son commandant.
- J'ai toujours eu envie de rencontrer des anges.
- Et nous allons en avoir l'occasion.
Le général Xi se tourna
vers son aide de camp.
- Nous avons terminer l'exercice avec un peu de retard mais on a bien réussi a débarquer dix mille hommes en cinquante cinq minute. Qu'en est-il des deux autres divisions ?
- Ils ont pris plus de retard que nous et ont été obliger d'annuler les dernières phases.
- Parfait.
Un jet passa devant eux,
se mit a faire du surplace grâce a ses réacteurs a tuyère
orientable puis se posa dans la soute.
Washington DC Maison
Blanche
- Qu'elle est le secteur le plus en crise ? : demanda le président.
- La Chine et Taiwan monsieur. Nos satellites ont détecté plusieurs regroupement de troupes dans les ports qui longe le détroit de Formose.
Le président se redressa
sur son fauteuil de cuir.
- Qu'elle est le niveau de menace réel ?
- Ils ont beaucoup améliorer leurs capacités amphibie depuis trois ans et ils ont trois porte-avions opérationnel.
Un amiral se mit a
ricaner dans son coin puis se corrigea sous le regard réprobateur de
ses collègues.
- Vous avez une opinion amiral ? : le président avait prononcer cette simple phrase d'un ton acide.
- Excuser moi mes leurs trois porte-avions ne sont que des coquilles de noix destiner a la propagande. Le premier est un vieux navire russe rénover, les deux autres sont de vulgaire copie produit localement a la va vite et leurs aéronavales est composé d'appareils conçu par les russes il y a vingt ans. Un seul de nos porte-avions nucléaire peut les envoyer faire un tour dans les fonds marin et ils le savent.
- Que faite-vous de leurs capacités anti-navire par missile balistique ? : demanda le vice-président.
- A la Navy ont y croit pas, il a trop de difficulté technique a visé une cible en mouvement et il faut pas oublier nos destroyers Aegis équiper de missiles SM3 capable d'intercepter les missiles balistique.
Le président tout en
écoutant la conversation pensait a la Chine. Depuis quelque mois la
situation devenait tendu avec cette nation. Son initiative Amérique
Première qui favorisait les entreprises américaine dans le commerce
intérieur avait sauver le pays d'une crise économique. Les autres
nations avaient traiter ses lois de protectionnisme et de mettre en
danger l'économie mondial. Mais sa avait sauver l'Amérique.
- Vous pensez qu'il pourrait envahir la Taiwan ? : ajouta le président en coupant la chicane entre le conseiller a la sécurité national et l'amiral Stevenson.
- S'est sa ou une des îles disputer entre la Chine, Taiwan et le Japon.
- Que pouvons nous faire pour empêcher que la situation dégénère ?
- Déployer un groupe aéronavale depuis Yokosuma dans le détroit de Formose.
Cette option pouvait
déclencher une guerre ou en empêcher une, les États-Unis avait
déjà utiliser cette solution longtemps auparavant. A une époque ou
la marine chinoise était bien moins puissante. Mais que pouvait-il
faire d'autre a part rester assis et regarder sur CNN Taiwan tomber.
- Déployer le Washington, faisons peur et comprendre aux chinois qui sont les bosses.
- Oui monsieur.
La réunion se dirigea
vers des sujets bien moins inquiétant, comme les élections
Ukrainiennes qui intéressait beaucoup les russes qui avait déployer
des troupes sur la frontière Ukrainienne. La Pologne mobilisait
contre la menace vide de sens de l'armée russe et tous dans le coins
grinçait les dents.
- Bon je crois que s'est tout pour aujourd'hui, je dois y aller l'équipe gagnante de la coupe Stanley m'attend pour des photos.
Une menace n'avait pas
été discuter dans la réunion matinal, un obscur rapport provenant
d'une cellule d'analyse du FBI. Personne au bureau de Washington
l'avait pris aux sérieux et il n'était remonter jusqu'au conseiller
a la sécurité national que par chance.