Activité littéraire
Voie de la liberté
P.1.3
L'écriture de la première partie de Voie de la Liberté est compléter et je réfléchissi a la suite. Bon j'ai déjà en tête l'histoire mais je me pose des questions car la suite mériterais quasiment un vrai livre ;P
Bonne lecture !
Voie de la liberté P.1.3
Le voltigeur survolait le sol tout droit vers la paroi d'une falaise. Morose l'ancien capitaine Alexander jetais des coups d'oeil discret a son pilote. Sarah l'avait neutraliser en l'espace d'une fraction de seconde. Seul un entraînement de commando d'élite pouvait expliquer de telle performance. Décidément le gouverneur d'Annarix s'était bien entourer pour sa petite rébellion.
- Normalement, je vous ferai passer par la mine mais la zone est surveiller par des inspecteurs du conseil. Si quelqu'un vous reconnais des questions gênante pourrait être posé.
- Vous allez faire comment alors ?
- Accrochez-vous, passage en commande manuel.
Ses mains prirent le manche et elle stabilisa l'appareil juste devant la falaise. Une toile de tente ondulait dans le vent. Le camouflage était parfait, il fallait vraiment être très près pour se rendre compte de la supercherie. Des hommes apparurent, Sarah leurs fit un signe de la main et ils tirèrent sur des corde soulevant un pan de la toile. Le voltigeur passa en dessous et ils entrèrent dans un tunnel. Alexander siffla d'admiration alors qu'ils plongèrent vers les entrailles de la planète. Le tunnel devait dépasser les soixante mètres de diamètre, de quoi laisser passer un destroyer et pourquoi pas une frégate. A tout les kilomètres un cercle métallique connecter a des dizaines de câbles sortait légèrement des parois. Se tunnel était un fichu lanceur électro-magnétique.
- Vous avez construit une base de lancement sous le nez du conseil j'ai l'impression : murmura Alexander.
- Officiellement s'est une mine d'uranium, en fait il a vraiment une mine mais nous ne montrons qu'une partie du complexe au visiteur : répondit Sarah.
Quelque chose encombrait le tunnel droit devant eux. Une structure métallique et ils foncèrent sur lui a toute vitesse.
- On va leur rentrer dedans miss Van Allen.
- Ouvrez bien vos yeux.
L'appareil se rapprocha de la paroi, frôlant presque la roche lisse comme un miroir puis il put enfin distinguer des détails. En un clignement de yeux, ils passèrent sous la coque d'une frégate de modèle inconnu mais il put admirer les lignes gracieuse du navire de guerre tout neuf. Sentir sa puissance a travers les sabords d'armement, contempler les puissants moteurs plasmique et des larmes embrouillèrent sa vision alors qu'ils continuèrent leurs chemins.
- Pleurez pas pour sa monsieur. Se que vous allez voir bientôt est encore plus impressionnant.
- Sa fait vingts ans que je n'ai pas vue un aussi beau navire.
- Vous commencez a changer d'avis ? : demanda Sarah.
- Les projets du gouverneur sont que pure folie mais je vais écouter le général.
- S'est tout se qu'on demande.
Brusquement ils ralentirent puis une lueur éclatante l'aveugla. Une tempête sonore attaqua ses tympans. Il ne pouvait détacher son regard de l'énorme chantier spatio-naval. Une véritable ruche d'humains et de robots occupé a soudé, a brancher, a alimenter, a assembler une véritable flotte de guerre. Sarah posa le voltigeur sous le ventre d'un destroyer. Deux types la saluèrent du haut d'un échafaudage et se retournèrent pinceau a la main pour peindre sur la coque grise le nom du bâtiment en grosse lettre majuscule.
- Nous avons quatre complexes, le premier fabrique les composantes électronique et mécanique. Le deuxième fabrique la structure et le blindage. Ici dans le troisième on assemble le tout et on fait les travaux de finition.
- Qu'est se que vous faite dans le quatrième : osa demander Alexander.
- Suivez moi !
Elle le guida a travers le hall d'assemblage puis ils embarquèrent dans un train qui plongea dans une galerie obscur.
- On a trente lanceur électro-magnétique et on peut lancer deux vaisseaux a l'heure par tunnel. Nous avons quatre-vingts dix destroyers et frégates quasiment prêts. Plus une sacré quantité de chasseurs et de patrouilleurs qui n'auront pas besoin d'assistance pour le décollage.
- Sa va prendre plus que sa si vous espérez repousser l'Alliance.
- S'est pourquoi nous avons construit se navire là.
Elle pointa la vitre du train pile quand ils entrèrent dans une nouvelle caverne. Il se retourna et admira le navire qui était en phase final de construction. Par pure automatisme il se leva et resta figé a regarder le spectacle alors que le train ralentissait et s'immobilisait. Sarah lui tapota l'épaule, une caresse bien douce après la correction qu'elle lui avait infligé.
- Je peux vous détacher maintenant.
- Oui allez-y.
Elle déverrouilla les menottes, il restait toujours aussi fixe.
- Vous voulez aller le voir de plus près ?
- Oui, oui : ajouta t-il comme un enfant qui attendait juste la permission pour déballer ses cadeaux un matin de noël.
Des lignes pures, trois tourelles frontale, deux arrières, des douzaines de sabord d'armements, le coeur d'Alexander battait la chamade. Qu'une seule fois il l'avait senti se débattre plus fort, tétanisé devant se rêve il remarqua pas le regard amusé de Sarah ni l'approche de deux hommes.
- Capitaine Alexander je suis le général Jacob.
Il se tourna sorti de sa transe par cette voix qu'il avait entendu dans de nombreux message.
- Je vous connais de nom monsieur. Vous avez là un bien beau navire.
- Et si vous le voulez il est a vous. Je vous présente son concepteur et le directeur de tout le chantier monsieur Ivansov.
- J'ai l'impression que vous l'aimez bien : ajouta Ivansov avec un accent russe prononcé.
Alexander se retourna vers le navire avant de faire face au général.
- J'espère que vous avez un bon plan. Ils ne vous laisseront pas faire.
- Des douzaines de systèmes attendent qu'une seule réussisse a faire le premier pas.
- Et combien resterons fidèle ou ne ferons rien ?
Le général se tu, cette homme méritait la vérité.
- Beaucoup trop, mais si le coeur flanche tout sera possible.
- Vous parlez d'attaquer la place forte de l'ennemi. Nous pourrons peut-être gagner dans l'espace mais sa suffira pas. Vous savez pourquoi on m'a exilé ?
- Vous avez refuser un ordre, vous avez refuser de bombarder des innocents. Quelqu'un d'autre sans est charger mais vous avez fait se que votre conscience vous dictait.
Un silence plana tout juste briser par les travaux de finition sur la coque.
- J'imagine que vous avez un plan pour sa aussi. Comment s'appel se croiseur ? : demanda Alexander.
- S'est a son capitaine de le baptiser. Si vous accepter le poste bien sûre.
- Je vais devoir lui trouver un sacrer de bon nom alors....
A suivre dans la partie 2....
Le voltigeur survolait le sol tout droit vers la paroi d'une falaise. Morose l'ancien capitaine Alexander jetais des coups d'oeil discret a son pilote. Sarah l'avait neutraliser en l'espace d'une fraction de seconde. Seul un entraînement de commando d'élite pouvait expliquer de telle performance. Décidément le gouverneur d'Annarix s'était bien entourer pour sa petite rébellion.
- Normalement, je vous ferai passer par la mine mais la zone est surveiller par des inspecteurs du conseil. Si quelqu'un vous reconnais des questions gênante pourrait être posé.
- Vous allez faire comment alors ?
- Accrochez-vous, passage en commande manuel.
Ses mains prirent le manche et elle stabilisa l'appareil juste devant la falaise. Une toile de tente ondulait dans le vent. Le camouflage était parfait, il fallait vraiment être très près pour se rendre compte de la supercherie. Des hommes apparurent, Sarah leurs fit un signe de la main et ils tirèrent sur des corde soulevant un pan de la toile. Le voltigeur passa en dessous et ils entrèrent dans un tunnel. Alexander siffla d'admiration alors qu'ils plongèrent vers les entrailles de la planète. Le tunnel devait dépasser les soixante mètres de diamètre, de quoi laisser passer un destroyer et pourquoi pas une frégate. A tout les kilomètres un cercle métallique connecter a des dizaines de câbles sortait légèrement des parois. Se tunnel était un fichu lanceur électro-magnétique.
- Vous avez construit une base de lancement sous le nez du conseil j'ai l'impression : murmura Alexander.
- Officiellement s'est une mine d'uranium, en fait il a vraiment une mine mais nous ne montrons qu'une partie du complexe au visiteur : répondit Sarah.
Quelque chose encombrait le tunnel droit devant eux. Une structure métallique et ils foncèrent sur lui a toute vitesse.
- On va leur rentrer dedans miss Van Allen.
- Ouvrez bien vos yeux.
L'appareil se rapprocha de la paroi, frôlant presque la roche lisse comme un miroir puis il put enfin distinguer des détails. En un clignement de yeux, ils passèrent sous la coque d'une frégate de modèle inconnu mais il put admirer les lignes gracieuse du navire de guerre tout neuf. Sentir sa puissance a travers les sabords d'armement, contempler les puissants moteurs plasmique et des larmes embrouillèrent sa vision alors qu'ils continuèrent leurs chemins.
- Pleurez pas pour sa monsieur. Se que vous allez voir bientôt est encore plus impressionnant.
- Sa fait vingts ans que je n'ai pas vue un aussi beau navire.
- Vous commencez a changer d'avis ? : demanda Sarah.
- Les projets du gouverneur sont que pure folie mais je vais écouter le général.
- S'est tout se qu'on demande.
Brusquement ils ralentirent puis une lueur éclatante l'aveugla. Une tempête sonore attaqua ses tympans. Il ne pouvait détacher son regard de l'énorme chantier spatio-naval. Une véritable ruche d'humains et de robots occupé a soudé, a brancher, a alimenter, a assembler une véritable flotte de guerre. Sarah posa le voltigeur sous le ventre d'un destroyer. Deux types la saluèrent du haut d'un échafaudage et se retournèrent pinceau a la main pour peindre sur la coque grise le nom du bâtiment en grosse lettre majuscule.
- Nous avons quatre complexes, le premier fabrique les composantes électronique et mécanique. Le deuxième fabrique la structure et le blindage. Ici dans le troisième on assemble le tout et on fait les travaux de finition.
- Qu'est se que vous faite dans le quatrième : osa demander Alexander.
- Suivez moi !
Elle le guida a travers le hall d'assemblage puis ils embarquèrent dans un train qui plongea dans une galerie obscur.
- On a trente lanceur électro-magnétique et on peut lancer deux vaisseaux a l'heure par tunnel. Nous avons quatre-vingts dix destroyers et frégates quasiment prêts. Plus une sacré quantité de chasseurs et de patrouilleurs qui n'auront pas besoin d'assistance pour le décollage.
- Sa va prendre plus que sa si vous espérez repousser l'Alliance.
- S'est pourquoi nous avons construit se navire là.
Elle pointa la vitre du train pile quand ils entrèrent dans une nouvelle caverne. Il se retourna et admira le navire qui était en phase final de construction. Par pure automatisme il se leva et resta figé a regarder le spectacle alors que le train ralentissait et s'immobilisait. Sarah lui tapota l'épaule, une caresse bien douce après la correction qu'elle lui avait infligé.
- Je peux vous détacher maintenant.
- Oui allez-y.
Elle déverrouilla les menottes, il restait toujours aussi fixe.
- Vous voulez aller le voir de plus près ?
- Oui, oui : ajouta t-il comme un enfant qui attendait juste la permission pour déballer ses cadeaux un matin de noël.
Des lignes pures, trois tourelles frontale, deux arrières, des douzaines de sabord d'armements, le coeur d'Alexander battait la chamade. Qu'une seule fois il l'avait senti se débattre plus fort, tétanisé devant se rêve il remarqua pas le regard amusé de Sarah ni l'approche de deux hommes.
- Capitaine Alexander je suis le général Jacob.
Il se tourna sorti de sa transe par cette voix qu'il avait entendu dans de nombreux message.
- Je vous connais de nom monsieur. Vous avez là un bien beau navire.
- Et si vous le voulez il est a vous. Je vous présente son concepteur et le directeur de tout le chantier monsieur Ivansov.
- J'ai l'impression que vous l'aimez bien : ajouta Ivansov avec un accent russe prononcé.
Alexander se retourna vers le navire avant de faire face au général.
- J'espère que vous avez un bon plan. Ils ne vous laisseront pas faire.
- Des douzaines de systèmes attendent qu'une seule réussisse a faire le premier pas.
- Et combien resterons fidèle ou ne ferons rien ?
Le général se tu, cette homme méritait la vérité.
- Beaucoup trop, mais si le coeur flanche tout sera possible.
- Vous parlez d'attaquer la place forte de l'ennemi. Nous pourrons peut-être gagner dans l'espace mais sa suffira pas. Vous savez pourquoi on m'a exilé ?
- Vous avez refuser un ordre, vous avez refuser de bombarder des innocents. Quelqu'un d'autre sans est charger mais vous avez fait se que votre conscience vous dictait.
Un silence plana tout juste briser par les travaux de finition sur la coque.
- J'imagine que vous avez un plan pour sa aussi. Comment s'appel se croiseur ? : demanda Alexander.
- S'est a son capitaine de le baptiser. Si vous accepter le poste bien sûre.
- Je vais devoir lui trouver un sacrer de bon nom alors....
A suivre dans la partie 2....