dimanche 24 mars 2013

Activité Littéraire
La voie de la liberté
P1.2
 
Parfois quand on écrit on est obliger de faire des modifications. Du genre de deux noms qui se ressemble trop. Donc on en change un. Sa simplifie la compréhension du texte.
 
Hier je suis tomber sur quelque livres intéressant aux renaud-bray... Deux qui vont me servir de référence pour certaine histoire  et le troisième est juste fun a lire ;) J'en reparlerai plus tard.
 
Place a l'histoire !
 
 
Le voltigeur vira sur l'aile et ralenti alors que ses propulseurs inversait leurs flux de puissance. Avec grâce l'ordinateur fit descendre au sol l'engin d'allure sportive. La verrière s'ouvrit et le pilote se leva tout en s'étirant. Le vol jusqu'ici avait été long, s'était facile d'oublier a qu'elle point certaine région d'Annarix était loin. D'un bond, elle descendit sans attendre le déployement automatique de l'échelle. Une douce odeur de sapin planait dans l'air alors qu'elle se dirigeait vers la maison de bois rond. Tout était si rustique ici, d'une cheminée sortait une fumée grise. L'homme qu'elle était venue chercher sembla avoir laisser derrière lui toute technologie. Elle s'arrêta devant la porte, chercha pendant une seconde la sonnette, secoua la tête devant son absence et cogna a la porte.

Pas de réponse, il ne devait pas être loin pourtant. D'un pas décider elle fit le tour de la maison, ne résistant pas a la tentation de jeter des coup d'oeil a l'intérieur par les carreaux sale des fenêtres. Aucune trace de l'homme qui était si important pour le général. Ou pouvait-il bien être ? Un craquement se fit entendre dans les buissons. Elle tourna la tête et vit un écureuil prendre la fuite jusqu'a un arbre. Elle soupira de soulagement et retira sa main de son arme de service. Cette région est reconnu pour abriter de dangereux prédateur.

- Vous allez lentement vous tournez mademoiselle et pas de geste brusque : dits une voix dans son dos.
- Le général m'envoi vous parler capitaine.
- Je suis plus capitaine aujourd'hui.

Avec lenteur, elle se retourna vers la voix et ses yeux s'agrandirent en voyant l'antique fusil de chasse pointer droit sur elle. Plus personne utilisait se genre d'engin de nos jours.

- Nous avons besoin de vous capitaine.
- Les trois dernières fois j'ai répondu non. Si il pensait que m'envoyer une jeune femme allait me faire changer d'avis il se trompe.
- Allez vous baisser se monstre ? : demanda t-elle
- Non !
- S'il vous plaît ?
- Non : rajouta t-il.

La jeune femme secoua la tête, ses mèches rousses contrastait avec la verdure ambiante alors qu'elle se balançait dans les airs.

- J'ai été poli monsieur, sauf que j'ai des ordres très claire. Maintenant baisser votre arme.
- S'est encore non.

En un éclair, elle fut sur lui.Il pouvait sentir son corps a travers malgré le manteau de cuir tellement elle était proche. Le fusil lui partit des mains et atterrit derrière lui dans le buisson. Une fraction de seconde plus tard, il crachait de la Terre en se demandant comment il s'était retrouver là alors que cette furie lui liait les mains avec une paire de menotte qui semblait être apparut de nulle part.

- Le général m'a demander de vous ramenez peux importe le moyen utiliser. Ne le prenez pas personnel mais j'ai pas envie d'échouer.
- Vous êtes très forte mademoiselle, vous vous appelez comment ?
- Sarah Van Allen.

Elle le remit debout, ramassa le fusil et ils se dirigèrent vers le voltigeur.

- Je vais m'en rappeler miss Van Allen. On voit rarement des femmes de votre genre.

Le voltigeur décolla dans la lumière du matin et mit le cap vers l'ouest.


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