Une autre séance d'écriture, j'ai été plutôt productif aujourd'hui. Bonne lecture.
Pine
Wood 4h30
Le
village de 300 âmes semblait tranquille, bien loin de la guerre
alors que l'ennemi passait pas loin.
Pas
un mouvement, non si, une camionnette circulait lentement sur une
rue. S'arrêtant a chaque maison, certainement un livreur. La vie
continuait donc.
- Allons-y.
- Une seconde messieurs.
Le
clic de la sécurité d'un fusil qu'on armait se fit entendre. Toute
les têtes se tournèrent vers l'intruse. Une ado a la queue de
cheval jaune comme le blé, habillé en kaki.
- Comment avez-vous faits pour ?
- Pour arriver derrière vous ? Facile avec tout le bruit que vous faites.
- D'accord, alors qui êtes-vous et que voulez vous ?
Elle
afficha un léger sourire.
- Qui je suis n'est pas important pour l'instant. Monsieur Riwov, a envoyer une certaine quantité d'éclaireur dans la région pour intercepter les survivants.
- Et qui est se monsieur Riwov ?
- Le maire de Pine Wood, faudrais vraiment qu'on se dépêche d'arriver en ville avant que le soleil se pointe. Il a des patrouille héliporté chinoise dés l'aube.
- On vous suit.
Elle
remit son fusil de chasse en bandoulière et ils descendirent vers
Pine Wood. Ils pénétrèrent dans le village par l'arrière et
s'arrêtèrent a la salle communautaire. La surprise, ils se firent
servir un repas chaud et reçurent des soins médicaux.
- Riwov vous attend lieutenant Sinclair.
- Vous pouvez m'appeler Martin demoiselle ???
- Sarah.
- Allons-y Sarah. Il déposa son assiette, a moitié rempli d'œuf et de jambons.
Le
maire était installer dans une petite maison bien anonyme, un
secrétaire l'accueilli a la porte et le fit entrer dans le bureau.
Une insigne marquer Mayor en marquait l'entrer. Un homme a la barbe
grise mais bien fourni se leva et lui serra d'une poigne de fer la
main.
- Sarah, attendez donc dehors.
- Oui monsieur.
- Combien de fois je vous ai dit de m'appeler Steward.
- Un bon million.
Elle
quitta les lieux d'un pas léger.
- On a beaucoup a discuter lieutenant. Sachez d'abord que le gouvernement a décider de déclarer ville ouverte toute les communautés du nord.
- Qu'elle sort nous attend moi et mes hommes ?
Steward
Riwov s'enfonça dans son fauteuil.
- J'ai émigrer au Canada il y a quarante bonne années. Mon père m'a conté des histoires de guerre. De la seconde plus précisément.
- Un vétéran ?
- Un partisan plutôt.
Le
maire regarda par la fenêtre.
- J'ai reçu pour instruction de remettre tout les blessés a l'occupant.
- Et pour ceux qui peuvent encore se battre ?
- Sa s'est amusant, les russes et les chinois qui sont passé nous voire il y a trois jours ont oublier de préciser exactement quoi faire. Ou plutôt ils l'ont sous entendu.
Pas
question de mettre en danger les civiles, la marche jusqu'au ligne
amis allait certainement durer...
- Moi et mes hommes valides allons-vous quitter dés la tombé de la nuit.
- Pas si vite le jeune, il y a quatorze jours j'ai reçus la visite d'un général quatre étoiles. Il m'a laisser une lettre destinée a l'officier le plus gradé qui passerait. A ouvrir qu'en cas de catastrophe.
Il
ouvrit le tiroir de son bureau, sorti une enveloppe scellé et la
donna a Martin.
- Je vais sortir.
Laissé
seul, Martin déchira l'enveloppe et parcouru le mince texte.
De
fichu ordre, des ordres impossible a réussir et surtout impossible
de refuser.
Il
soupira, seul il laissa son regard errer. Ses yeux se fixèrent sur
une photo encadrer poser sur le bureau. Un homme et une femme en
uniforme de l'armée rouge.
- Mes grand-parents, ils se sont rencontrer dans les marais de Prippet. Lui il était dans l'armée rouge, son unité s'est fait dissoudre dans les batailles de juin 1941. Elle s'est fait chasser de chez-elle par les SS. Aucun des deux ne pensaient trouver l'amour dans les défaites.
Le
lieutenant Sinclair se tourna vers le maire.
- Je ne vous ait pas entendu rentrer.
- Mes parents m'ont toujours trouvez très silencieux.
- Je vais avoir besoin de guide qui connaisse bien la région ? De vivre et que vous vous occupez de mes blessés.
D'un
pas vifs, Riwov retourna s'assoir a son bureau.
- On a quelque jeune scout qui n'attende que cela se battre. Vous connaissez déjà Sarah, elle connait comme le fond de sa poche la région. Et je vais m'occuper de vos hommes. Je saurais obliger de les remettre aux chinois. Mais je devrais réussir a retarder la nouvelle pendant quarante huit heures.
- Merçi.
Riwov
lui donna une brusque accolade et Martin quitta son bureau. Bien vite
Sarah le rejoignis.
- Je peux venir avec vous ?
- Oui.
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