Je prends du retard dans mon écriture, beaucoup de lecture, de jeux et de bonne série télé.
Sans oublier qu'en lisant, je vois mes problèmes dans mes écrits. Sa déprime légèrement, j'ai encore beaucoup de travail devant moi pfff... Je vous poste un nouveau extrait. A+
Le
train rapide traversa le boyau séparant le complexe militaire de la
cité sous dôme. De chaque coté les bâtiments défilaient, les
traverses piétonnière étant occupé par la masse habituelle de
foule. Assise sur son siège, Rose consultait ses messages sur son
téléphone. Comme d'habitude beaucoup trop de pub, une invitation a
une fête et un tas d'autre imbécillité.
Le
train s'arrêta, et elle descendit dans la rue. Dans le ciel, Jupiter
formait une sphère orange gigantesque. Les tours s'élançaient vers
le haut, on aurait dit qu'elle allait toucher la planète toute
proche.
Un
sac sur l'épaule, elle se mêla a la foule. D'un pas vif, elle
s'avançait, se rapprochant de plus en plus de son appartement. Trois
rues et deux ascenseurs plus tard, elle entra dans son chaos
personnelle. Pas si personnelle que sa, ses deux jeunes colocataires
faisaient leurs part de désordre. Des pads numérique trainaient içi
et la. Sans oublier de nombreux livres, malgré les décennies et les
millions de kilomètre les bouquins existaient toujours. Des pleures
provenaient d'une des chambres du fond. Rose déposa son sac et
s'élança dans le corridor. Accoter sur le bord de la porte Sylbee
poussa un soupir de soulagement en la voyant arriver. Elle avait
repris son réflexe de jouer avec une de ses mèches de cheveux blond
comme la lune.
- Elle n'a pas bouger depuis qu'on a reçus la nouvelle. Impossible de la faire sortir.
- Je vais essayer.
Elle
cogna tout doucement sur la porte.
- Marie, s'est moi Rose. Je peux entrer ?
- Non !
- Écoute moi au moins ?
Le
silence lui répondit, même les pleurs avait cessé.
- Je sais que tu es triste, que tu te sens seul. S'est normal, ton père et ton oncle sont parti. On les reverra plus.
A
travers la mince cloison aucun son ne semblait passé.
- Tu n'est pas seul, on es là pour t'aider.
Sylbee
grimaça, la situation la mettait mal a l'aise.
- Écoute moi, avant de trouver le Myrsfella, je pensais qu'a une seule chose.
Rose
se laissa glisser le long de la porte, le dos appuyer sur la porte.
- Comment fêter mon transfert dans la compagnie. Maintenant je désire qu'une seule chose, t'aider.
La
porte s'ouvrit, et elle tomba sur le dos au pied de Marie.
- Suis pas vraiment d'humeur a la fête.
- On a pas besoin de sortir, on a plein de glace au congélo.
- On peut faire venir les gars ?
Marie
et Rose fixèrent Sylbee, s'entre regardèrent.
- Lesquelles ?
- Vous savez qui !
- On te fait marché, vas y texte les. Quand a toi, on va te refaire une beauté.
Le
salon était rempli, d'une demi-douzaine on était passé a
trente-six et déjà trois avertissement des proprio. En plein centre
de cette attroupement Sylbee dansait, Marie et quelque uns de ses
amis de la milice avait trouver refuge sur la terrasse et partageait
des souvenirs. Beaucoup de monde connaissait son père, sans oublier
son oncle. Toute ses ex passèrent, d'une certaine manière elles
faisaient parti de la famille, sa seul. Celle qui n'existait plus, a
part sa belle famille qui s'était choqué avec sa mère bien avant
sa naissance.
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