ACTIVITÉ
LITTÉRAIRE
LE TEMPS DES LOUPS
LA FIN : P
Bon je réfléchis a la fin de se texte depuis plus d'une semaine, j'espère que vous allez aimé !
Bonne lecture, moi je retourne jouer a World of Warplane.
A+
Le Temps
des Loups
P.3
Une meute de
loup entra, ils s'arrêtèrent a deux pas des hommes. John se
retourna et pointa son arme vers la nouvelle menace. Ils grognèrent,
mais restèrent immobile, de la bave coulèrent sur le sol. Des
lambeaux de vêtements pendaient sur leurs dos.
- Vous faites mangez des hommes a ses loups ?
- Se ne sont pas des loups...
- Sa y ressemble terriblement.
Un hurlement
sinistre fit trembler les murs et John le ressentit jusqu'au cœur de
ses os. La meute se mit a crier vers le ciel.
- J'aime vraiment pas sa. Qu'est se que vous faisiez donc ici.
- On étudiait une maladie.
- Qu'elle maladie ?
Les loups
bondirent vers les hommes désarmer. Un coup de feu retenti, une des
créatures tomba sur le sol, touché sur le flanc par une balle. Ils
s'arrêtèrent en grondant alors que le loup blessé se remit sur ses
pattes.
- Je l'ai touché et se truc est encore debout ?
- Normal, se sont des loup-garou.
- Sa n'existe pas !
Les trois
gardiens se fixèrent, dans leurs yeux une chose se voyait. La
certitude de mourir dans les prochaines minutes.
- Vous êtes sérieux ?
- Oui et a moins que vous ayez des balles en argent dans votre chargeur s'est fini.
La meute se
mirent a grogner a l'unisson. Lentement ils s'avancèrent vers leurs
proies. John se mit a tirer, arrosant la pièce, vidant son chargeur
en vain sur les bêtes. Un des gardiens plongea vers un meuble,
visiblement pour sortir quelque chose d'un de ses tiroirs, mais un
des loups referma ses mâchoires sur une de ses jambes et tira sa
victime hurlante a l'extérieur. Le deuxième homme renversa la table
et tenta de reculer avec dans un coin pour se défendre. Un loup
bondit par-dessus. Brandissant son arme comme un gourdin, John
écartait les bêtes qui s'approchait trop près. Du coin de l'œil,
il vit le dernier homme se faire déchirer la gorge.
- Non,non,non... S'est pas possible.
Un nouveau
loup entra, sa toison avait des teintes de roux brillante. Les autres
bêtes se retournèrent et l'encerclèrent. Une bagarre général se
déclencha quand ils se jetèrent tous sur le nouveau venu. La
lumière s'éteignit brusquement, seul les éclairs des orages
illuminait la scène barbare alors que le loup roux mordait avec
férocité ses adversaires. De longues minutes d'horreur passèrent,
la bataille avait lieu juste devant la seule sortie. Puis, un a un
les loups-garous blessé se retirèrent. Seul la bête rousse resta,
elle se tourna vers John et avança vers lui en boitant sur une patte
blessé. Haletante, elle s'écroula sur le sol, de nombreuse plaie
parsemait sa fourrure.
Quelque
chose, le retenait de partir, cette animal lui avait sauvé la vie et
il fallait encore qu'il retrouve sa sœur. Il se pencha et flatta le
loup.
- Je vais revenir.
John se mit
a courir dans les couloirs, cherchant Amy, criant son nom.
L'orage
passa, le soleil se leva a l'horizon quand il revient vers la salle
de garde, déçue par ses recherche infructueuse. Quasiment en larme,
il entra.
Elle était
là, endormi sur le sol. Amy, sa jeune sœur, ses vêtements avait
disparu mais des marques de morsure parsemait son corps et sa
cheville gauche était tordu.
- J'aurais du voire le coup venir, Amy on dirait bien que je ne suis pas le seul a avoir des ennuis.
D'abord lui
trouver des vêtements, après la réveiller et lui conter la nuit
dernière...
Trois cents
kilomètre de la...
Un homme
entra dans la chambre plongé dans l'obscurité par de lourd rideaux
noire.
- Qui me dérange dans mon repas ?
- S'est juste moi monsieur.
- Combien de fois vous ai-je dits de ne pas me déranger pendant mes collations ?
- Une bonne centaine, mais s'est important.
Une ombre se
leva, elle passa sa manche de chemise sur ses lèvres, l'homme
trembla en voyant les gouttes de sang tomber sur le sol.
- Qu'y a t-il ?
- Votre projet d'armée est compromis, d'après les caméra de sécurité l'Alpha est mort et les cobayes se sont enfuie dans la nature.
- Pourchasser les, sous formes humaines sa devrait être des proies facile.
- S'est pas tout.
L'homme se
tordait les mains en proie a une peur intense.
- Quoi d'autre ?
- Hier s'était la pleine lune et l'Alpha a mordu avant de se faire tuer par sa victime.
- Un nouvel alpha, parfait. Retrouver le, nous allons pouvoir relancer le projet.
- Plutôt une, monsieur.
- Vous avez carte blanche pour la récupérer, maintenant laisser moi finir mon repas.
Il se
retourna, un éclat de lumière se réfléchit sur ses crocs rougit
alors que l'homme quittait précipitamment l'antre de son maitre.
THE
END ?????????? ;P
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