lundi 17 septembre 2012

ACTIVITÉ LITTÉRAIRE
LE TEMPS DES LOUPS
P.2
 
J'ai pas pu m'empêcher d'écrire la suite de cette histoire. Je vous la livre tout de suite.
Bonne lecture.
 
Le Temps des Loups
P.2
Ses pas résonnait sur le carrelage, pour la discrétion s'était foutu d'avance. Il regarda derrière lui, s'attendant a voir sa sœur déboulé apeuré par la noirceur des lieux. Peine perdu, Amy avait beaucoup changé depuis l'effondrement de l'année passé. Ses pensées se tournèrent vers le passé, vers la petite maison bleu qu'ils habitaient avec leurs parents. John ouvrit une porte et entra dans un corridor latéral. Deux rangés de cellules se déroulait a l'infini. Il se a avancer vers le bout du corridor quand il entendit un bruits de respiration provenant d'une des salles fermé par des barreaux.Un homme se leva, sa chemise déchiré dissimulait a peine ses côtes, il ne devait pas avoir mangé depuis des jours.
  • Qui êtes-vous ?
  • Juste un visiteur, je m'appel John.
  • Faites nous sortir d'içi.
Des mains se mirent a sortirent entre les barreaux des différentes cellules.
  • Pourquoi on vous a enfermez ?
  • Des monstres, ils font des expériences sur nous. Faites-nous sortir.
  • Comment ?
  • Le verrouillage des cellules se contrôle depuis un panneau dans la salle de garde. S-il-vous plait, aidez-nous.
  • Je ferais se que je peux.
Il reparti, sortant du quartier des cellules, maintenant trouvez la salle de garde et espérer qu'Amy tomberait pas sur les monstres.

Pourquoi fallait-il qu'elle se retrouve tout seul dans le noir, sa lampe torche s'était éteinte dix minutes plus tôt. Un vent froid la faisait frisonner, seul les lueurs des éclairs lui permettait encore de marcher.
  • Jamais se séparer s'est la première leçon qu'on a appris et chaque fois s'est la même chose.
Parler tout seul, elle virait folle maintenant. Une lumière électrique sortait du dessous d'une porte fermé. Prudemment, elle tourna la poignée et poussa la porte. A l'intérieur, un homme hirsute avec une longue barbe grise. De longue chaines de métal était fixer a ses deux bras et a ses jambes. Il leva la tête.
  • Tiens, tiens une nouvelle venue.
  • Je vais vous sortir d'içi.
  • Mais je ne veux pas partir.
Il souria, la cloche d'une horloge se mit a sonner.
  • Enfin l'heure du repas.

Des cris de loups se mirent a résonner a travers les murs de la prison, encore une porte menant vers nulle part. Mais se corridor avait des néons allumés au moins. Des voix lui parvinrent de loin devant lui. John se rapprocha et s'arrêta juste avant l'entré de la salle d'où provenaient les voix. Ils jouaient au cartes, le moment de les prendre par surprise. Il bondit a l'intérieur, tirant un coup au plafond pour intimider les joueurs.
  • Que personne ne bouge.
Un des hommes déposa ses cartes, releva les yeux vers lui, son cigare pendouillait au coin de sa bouche.
  • Tu sais vraiment pas où tu es tomber petit.
  • Je sais parfaitement où je me trouve. La commande des cellules montrer la moi !
Un des gardiens lança nerveusement un regard vers le panneau électrique derrière lui.
  • Bouger pas.
John tourna autour de la table et jeta un coup d'œil au panneau. Ouverture d'urgence aile A et aile B, parfait. Il appuya sur le bouton rouge.
  • Vous êtes mieux de ne pas nous suivre.
  • Merde, il les a libérer. Tu as fermé la porte du corridor au moins ?
Les cris de loups se rapprochaient, très vite.
  • Non, non. Vite les revolvers.
  • Bouger pas, ou je tire !
  • Idiot, on va tous mourir.


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