SPÉCIAL
HALLOWEEN
Décidément j'ai du mal a faire tourner de manière régulière se fichu blog ;)
Malgré tout, le 27 septembre j'ai connu un pic de visite a 148 visiteurs...
Mais qui peux bien visiter mon ptit blog tenu de manière bien irrégulière ? :P
Il y a quelque années j'avais publier une histoire d'horreur en plusieurs partie répartie sur tout le mois d'Octobre...
Il est temps pour moi de redonner vie a cette tradition perso.
Attendez-vous a du mystère, du suspense et a voyage dans un univers plongé dans le brouillard...
Avertissement, je suis un écrivain amateur qui préfèrent largement écrire de la science-fiction alors je suis pas vraiment dans mon élément :P
Maintenant Cap sur les... non s'est pas la bonne phrase.
Etes-vous prêt a plonger dans la nuit noire ? prêt a affronter d'étrange horreur ?
Prêt pour une histoire imaginaire qui pourrait être vrai ? :P
Non ! Tant pis pour vous !
Bonne lecture et a la semaine prochaine pour la suite !
La
crique de la peur
par
Martin Cazeault
P.1
Les vieux essui-glace peinait
sous la pluie, a travers la lumière des phares je distinguais a
peine la route cabossé couvert de nid de poule. Mon portable se mit
a sonner et d'une main j’enclenchai le mode main libre.
- Allo?
- On va être en retard au
resto Alex.
- Comment sa?
- Steven a pris du retard au
bureau et dehors s'est un véritable ouragan.
Un éclair perça l'obscurité
et sa lueur fantomatique fit apparaître un gigantesque nid de poule
rempli d'eau. D'un coup de roue j’évitai l'obstacle. Je poussa un
soupir de soulagement, j'étais pas sûre que la vieille chevrolet de
papa aurait résister a se trou dément.
- On peut remettre sa a
l'année prochaine sœurette.
- Non, tu descend si rarement
de Washington et puis sa aurait été leurs anniversaire.
Des larmes se mirent a couler
sur mon visage, embrouillant encore plus ma vision. Je me rangea le
long de la route et arrêta le moteur. La pluie tambourinait sur la
voiture. Le vent venant de l'océan hurlait autour de moi me ramenant
une décennie en arrière. Au large des bateaux de pêche devait
affronter la tempête se dépêchant de rentrer au port avant qu'une
vague traîtresse les fassent chavirer, une vague comme celle qui
avait fait disparaître nos parents.
- L'océan est en colère se
soir.
- Sa va Alex?
- Ouais je me rappelais juste
le passée.
- Steven arrivent, on va avoir
peut-être bien une demi-heure de retard. Sois prudente, on arrivent.
- A tantôt.
Elle raccrocha, la ligne
grésillait dans le noir de l'habitacle. Je ferma mon portable et fit
tourner la clé de contact. Le moteur crachotait comme s'il était a
moitié noyé par la tempête, puis il se mit a ronronner comme la
belle machine qu'elle était a mes yeux. La lueur des phares
tremblaient a travers les trombes d'eau qui arrosait la route. Il
était temps de repartir.
Je lança la voiture a
l'assaut de la tempête et j'y voyais rien. Par moment même la route
semblait disparaître dans une noirceur totale.
- S'était peut-être pas une
bonne idée. Pourquoi chaque fois que je reviens dans la région on
dirait qu'un ouragan veut arracher la côte?
Oui parfois je me parle tout
seul.
Une ombre traversa le chemin,
de toute mes forces j'appuya sur le frein. Les pneus crièrent, une
odeur de caoutchouc brûler envahi l'air. L'ombre se figea devant la
voiture. J'hurla, un cri sembla me répondre, puis un choc secoua la
voiture qui s'arrêta enfin.
L'ombre avait disparu.
J'haletai, l'adrénaline refluait dans mes veines. J'ouvris la
portière, qu'est se que j'avais touché?
La pluie me trempa
instantanément. Le vent hurlait dans mes oreilles et hors de
l'espace éclairer par les phares il faisait nuit noire. Alors que je
m'approchais de l'avant de la chevrolet. Un grondement régulier me
parvient malgré le vent. Je me tourna et j'entre-aperçue entre les
trombes d'eau la lueur vacillante d'un phare solitaire. Une moto? Le
phare s'approchait a toute vitesse, je sauta sur le coté de la
route. Juste a temps, la moto me dépassa. Je me releva en jurant,
couverte de boue et mouiller jusqu'au os.
J'en connaissais au bureau qui
allait rigoler un bon coup en attendant le récit de mon week-end.
Je remonta sur la route et me
dirigea de nouveau vers l'avant de ma voiture. A travers les lueurs
de phare j’aperçus une forme recroquevillé enveloppé dans des
guenilles.
- Sa va aller?
Je me pencha vers elle, car
oui cette forme coucher sur le sol était une jeune femme. Une ado
terrifier. Elle tourna sa tête vers moi, ses yeux étaient
écarquillé par une sainte terreur.
- J'appel les secours.
Je sorti de ma veste mon
portable et l'ouvrit. Merde l'écran était tout noir, quelque chose
avait du se briser lors de ma cascade improvisé. Une main serra mon
bras, elle était forte pour une gamine.
- J'ai rien de briser madame,
aider moi juste a me relever et je vais rentrer chez moi.
Je la redressa, effectivement
elle tenait bien debout et semblait bien aller malgré qu'elle devait
être encore plus tremper que moi.
- Laisse moi juste te
reconduire au village, je m'arrête au Whale'Creek. La tu pourras
appeler tes parents et en les attendant je vais te payer un chocolat
chaud.
- Merci madame.
- Laisse tomber le madame, moi
je pourrais être ta grande sœur. Je suis Alex.
- Tabatha, je m'appel Tabatha.
On grimpa dans ma voiture. Les
sièges de cuir allait avoir besoin d'un sacré nettoyage après se
week-end.
- Je vous avais jamais vue
auparavant, vous êtes de la région Alex?
- J'y suis née.
Elle sursauta, puis son visage
pris un air de marbre.
- Il y a pas grand monde dans
le coin, je vous ais jamais vue.
- Moi et ma sœur ont a quitté
le coin il y a dix ans. Ont a passé une bonne partie de notre
adolescence sur la côte ouest.
- Vous êtes une Whitemore.
Son masque se fissura une
seconde prenant une allure a la fois surprise et intéressé. Puis le
marbre refis son apparition.
- Tout le monde connaît votre
histoire. Une des plus vieilles famille de la région, une famille
dont l'histoire remonte a la guerre d'indépendance, puis la mort
tragique de vos parents et la disparition des dernières Whitemore
emporté par les services sociaux.
- S'est de l'histoire
ancienne.
- Est-se que vous avez un truc
pour m'essuyer?
- fouille dans la boite a
gant.
Elle ouvrit la boite et son
contenu se déversa sur ses genoux.
- Désoler.
- S'est pas grave, je devrais
faire le ménage un jour.
Lentement elle se remit a
ranger mon fouillis.
- Vous avez une arme?
Elle tenait dans sa main
l'étui de mon arme de secours.
- Ha merde, j'ai oublier de la
laisser au bureau. Peux-tu la ranger? : Je me retourna vers la
route.
- Non.
Je sentis le canon du pistolet
qui appuyait sur mes côtes.
- Au croisement de la rue
principal tu prend la route du vieux phare.
- Pourquoi?
- Alex, on va faire un tour
dans le passée, corriger une erreur et me sauver ma vie.
La tempête hurlait sa colère
autour de nous, on aurait dits qu'elle avait une volonté propre.
- Pas d'entourloupe ma grande,
je veux pas te tuer. Pas tout de suite tout de moins.
Dans qu'elle pétrin étais-je
tomber?
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