Cette après-midi j'ai commencer a travailler sur une nouvelle pour un concours littéraire ( les milles mots de l'ermite )
Alors que je la termine je me rend compte que...
1. Sa fait une excellente intro pour une histoire bien plus grosse qui hante mon cerveau depuis un an...
2. J'ai trop de mots pour participer au concours :) 150 mots de trop Argh !!!!!!!!!!
Sa me tente pas de couper ;) Mais sa me tente de partager se bout de texte avec vous !
D'ailleurs cette semaine je vais essayer de passer une heure par jours sur cette histoire pour voire où sa me mène :P
Bon bonne lecture !
NEW AMERICA
Prologue
Je laissais une trainée de
sang alors que je rampais entre les rayons de se fichu supermarché
et pourtant tout semblait normal quand nous avons brisée la vitre de
l'entrée. Personne n'avait réagi et nous sommes entré pour
récupérer du stock. Bon voler, je sais sait pas bien mais depuis
une semaine la notion du bien et du mal était passé au second plan.
Avec un panier d'épicerie moi et Mary nous nous sommes diriger vers
l'allée des produits secs. Trois voyage sans histoire jusqu'au vieux
camion ford mais le quatrième avait tournée au cauchemar. Avec une
grimace de douleur je tapotais le sol a la recherche de mon 38 ou du
couteau qui quelque minute plus tôt m'avait taillader. Je suis
vraiment un idiot fini et je tournais en rond dans le noir. Autour de
moi j'entendais des rires on aurait dit une bande de hyène attendant
que la proie meurent au bout de son sang. Mary avait peut-être
réussi a s'enfuir et a avertir un adulte. Des coups de feu sonnait
dans l'air comme un orage lointain, 7 jours que se bruits résonnaient
dans les rues déserte. Sa commençait même a devenir routinier
malheureusement la fusillade était lointaine donc se n'était pas la
cavalerie qui arrivait pour me sauver.
Bang, la face droit sur une
botte. Je leva le visage vers le plafond et je vis le visage fou d'un
homme hirsute.
Une petite troupe m'encercla
et deux des motards me levèrent. Je serra les dents alors que la
douleur au ventre s'enfla. Rester debout, les regarder droit dans les
yeux.
Un des motards se lécha les
babines. J'étais tomber sur une vrai bande de malade un des hommes
portaient un collier fais de dents. Des dents bien petite bien trop
similaire a celle que je mettais sous l'oreiller pour la fée quand
j'étais qu'un gamin. Sauf que je suis encore qu'un gamin au yeux de
mon père. Un gamin de seize ans mais bon.
Ils se retournèrent tous
vers la voix féminine et je tomba sur les genoux alors qu'ils me
lâchaient.
Ha non elle parlait sur le
même ton que le jours où elle avait planter deux gars qui
m'asticotait au primaire.
Ils se mirent a rire et je
ferma les yeux. Un revolver se mit a rugir, les bang résonnaient
dans mes oreilles. Cinq coups rapide, je sentis des corps tomber
autour de moi. J'entrouvris les yeux et fixa le regard vide d'un des
motards. Un troisième œil sanglant me regardait.
Je pris une grande
respiration et je me releva. Trois seconde plus tard j'haletai au sol
couvert de sueur.
Elle s'approcha de moi, mit
son épaule sous mon bras et me leva. En clopinant nous nous
dirigeons vers la sortie.
On sorti dans le parking et
Michaelson l'oncle de Mary sorti de l'obscurité son fusil de chasse
bien visible.
Il s'est passé quoi ?
Martin s'est fait
poignarder. Je crois que s'est au ventre.
Montons le dans le
camion.
Je m'occupe de lui
Mike.
Son père va pas être
content.
Les deux ensemble me
grimpèrent dans la remorque du camion. A la lueur d'une torche
électrique Mary leva mon t-shirt taché de sang. Je vis une grimace
sur son doux visage.
Je poussa un petit cris
alors qu'elle versait sur ma plaie un liquide tirer de la trousse de
petit secours.
Je me remis a crier alors
qu'elle reversait de l'antiseptique dans ma blessure.
Arrête de bouger je
vais te recoudre.
Sa pourrait pas
attendre qu'on retourne au refuge ?
J'ai pas envie
d'expliquer a ton père que tu es mort au bout de ton sang a cause
que tu as peur des aiguilles. Inquiète toi pas je suis aussi bonne
a la couture qu'au tirs.
Tu sais j'ai reçus un
foulard de ta part a Noël...
La ferme.
Je serra les dents alors que
je sentais l'aiguille me traverser la peau. Michaelson arriva avec le
prof Harry et ils montèrent a l'avant.
Le camion bondit sur le
parking et se mit a zigzaguer dans les rues encombrer de véhicules
en panne. De chaque coté les blocs d'appartement semblaient les
surveiller et je me demanda se qu'il se cachait derrière les
fenêtres. L'obscurité nous enveloppait et nous obligeaient a rouler
lentement surtout qu'on gardait les phares éteint pour pas attirer
l'attention. On quitta la banlieue et on monta sur la bretelle de
l'autoroute. Au loin on apercevait New-York, des lueurs dansante
éclairaient la base des gratte-ciels leurs sommets disparaissaient
dans la nuits.
Je me demande qui a
commencer la guerre ?
Peut importe vue que
nous l'avons déjà perdu !
Moi j'aimerais bien
savoir qui nous a planter ?
Mary se mit a pleurer et je
la pris dans mes bras. Pour une fois elle me repoussa pas. Elle
vivait chez son oncle depuis que ses parents tout les deux servants
dans l'armée avait été tué dans une des guerres lointaine que
l'Amérique avait mené.
Je me demande se qu'il
se passe a New-York ?
Une autre guerre, s'est
pas pour rien qu'on part vers le sud : murmura t-elle entre ses
larmes.
J'aimerais savoir qui
va gagner ? Je sais je pose trop de question.
Mary ne me répondit pas,
elle s'était endormi la dans mes bras et je n'osais plus bouger.
Je leva la tête vers le
ciel et les étoiles. Une étoile filante passa a travers le ciel et
je fis un vœu.