Activité littéraire
Forêt noire
Au cours des derniers mois, vous avez lu pas mal d'histoire sur mon blogue. Dans un peu tout les genres... Mais il a un style que vous avez pas encore lu. J'ai fait de la science-fiction, de l'horreur, du techno-thriller mais se qui s'en vient est autre chose. Une sorte de médieval fantastique arrangé a ma sauce. Se qui suit n'est que le début d'une nouvelle histoire a partie multiple que nous allons découvrir ensemble au fur et a mesure que je vais l'écrire. Alors bonne lecture !
Forêt noir
par martin cazeault
« Au feu, au feu ! » :
cria le guetteur du haut de sa tour de guêt. L'homme montrait du
doigts une fumée noire qui montait d'au de-la de la forêt. Des
fermes parsemaient les alentours du village, sa venait provenant de
l'une d'entre elle. Une charrette charger de paysans prit la vieille
route en direction de la fumée.
Bien des heures plus tard,
ils revinrent couvert de cendres, emmitouflé dans une couverture une
petite chose criait a tu tête. Une vieille femme s'approcha, prit
le tas de couverture et se mit a bercer le bébé.
Le maire s'approcha des
paysans.
- Qu'est se qui s'est passé la-bas ?
- Ils sont tous mort monsieur, s'est terrible. Faut faire appel au roi.
- Je lui envoi un message.
Une semaine passa, puis
deux, puis quatre. L'hiver s'installa et passa. Les années
s'écoulèrent puis enfin il se passa quelque chose.
« Un cavalier, un cavalier
! » : cria le guetteur.
Le maire sortit de sa maison
puis se dirigea vers la grande place. Autour de lui, les villageois
ignoraient les appels provenant de la tour, les enfants se couraient
après, d'autre jouaient a la guerre avec des épées de bois. Du
coin de l'œil il vit Sari jouant a la princesse observer le combat
de son fidèle chevalier contre un barbare. Un coup d'épée bien
placé fit voler son arme et le gamin en pleurs parti se cacher en
tenant son poignet. Le vainqueur leva les mains en l'air en signe de
victoire et s'avança vers Sari pour conquérir son butin. Mais la
princesse avait ramassé l'épée de bois et la pointait vers son
assaillant.
- S'est pas du jeux : s'écria le gamin jouant le barbare.
Sari souria et se mit a
courir après lui en agitant l'épée dans les airs. Le maire souri
en voyant l'adversaire de Sari partir se cacher dans les jupes de sa
mère. La jeune fille aujourd'hui âgée de cinq ans s'arrêta devant
elle et fit une révérence avant de repartir armé de son épée
poursuive les autres enfants.
Dans un nuage de poussière
le cavalier s'arrêta et descendit de sa monture. Son heaume cachait
son visage mais les symboles de son bouclier montrait bien a qui
allait l'allégeance du cavalier. Un serpent entourer par des étoiles
noire.
- Que pouvons-nous faire pour le seigneur de Longue-Sarde ? : demanda le maire.
- Le seigneur demande le tribu du sang. Tout les hommes de seize ans et de moins de quarante doivent se rendre a son château dans une semaine.
- Pourquoi ?
Le cavalier remonta sur sa
monture et son regard caché par la visière darda le maire.
- S'est la guerre, notre seigneur regroupe tout les hommes valide.
- La guerre contre qui ?
- Contre le roi.
Et le cavalier reparti au
galop. Derrière lui, un nuage de poussière se forma alors que le
maire avait la gorge qui lui serrait. Les rumeurs des marchands
itinérants étaient donc vrai, le royaume se déchirait de nouveau.
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