dimanche 17 février 2013

Activité littéraire
Forêt noire
 
Au cours des derniers mois, vous avez lu pas mal d'histoire sur mon blogue. Dans un peu tout les genres... Mais il a un style que vous avez pas encore lu. J'ai fait de la science-fiction, de l'horreur, du techno-thriller mais se qui s'en vient est autre chose. Une sorte de médieval fantastique arrangé a ma sauce. Se qui suit n'est que le début d'une nouvelle histoire a partie multiple que nous allons découvrir ensemble au fur et a mesure que je vais l'écrire. Alors bonne lecture !
 
 
Forêt noir
par martin cazeault

« Au feu, au feu ! » : cria le guetteur du haut de sa tour de guêt. L'homme montrait du doigts une fumée noire qui montait d'au de-la de la forêt. Des fermes parsemaient les alentours du village, sa venait provenant de l'une d'entre elle. Une charrette charger de paysans prit la vieille route en direction de la fumée.

Bien des heures plus tard, ils revinrent couvert de cendres, emmitouflé dans une couverture une petite chose criait a tu tête. Une vieille femme s'approcha, prit le tas de couverture et se mit a bercer le bébé.

Le maire s'approcha des paysans.

  • Qu'est se qui s'est passé la-bas ?
  • Ils sont tous mort monsieur, s'est terrible. Faut faire appel au roi.
  • Je lui envoi un message.

Une semaine passa, puis deux, puis quatre. L'hiver s'installa et passa. Les années s'écoulèrent puis enfin il se passa quelque chose.

« Un cavalier, un cavalier ! » : cria le guetteur.

Le maire sortit de sa maison puis se dirigea vers la grande place. Autour de lui, les villageois ignoraient les appels provenant de la tour, les enfants se couraient après, d'autre jouaient a la guerre avec des épées de bois. Du coin de l'œil il vit Sari jouant a la princesse observer le combat de son fidèle chevalier contre un barbare. Un coup d'épée bien placé fit voler son arme et le gamin en pleurs parti se cacher en tenant son poignet. Le vainqueur leva les mains en l'air en signe de victoire et s'avança vers Sari pour conquérir son butin. Mais la princesse avait ramassé l'épée de bois et la pointait vers son assaillant.

  • S'est pas du jeux : s'écria le gamin jouant le barbare.

Sari souria et se mit a courir après lui en agitant l'épée dans les airs. Le maire souri en voyant l'adversaire de Sari partir se cacher dans les jupes de sa mère. La jeune fille aujourd'hui âgée de cinq ans s'arrêta devant elle et fit une révérence avant de repartir armé de son épée poursuive les autres enfants.

Dans un nuage de poussière le cavalier s'arrêta et descendit de sa monture. Son heaume cachait son visage mais les symboles de son bouclier montrait bien a qui allait l'allégeance du cavalier. Un serpent entourer par des étoiles noire.

  • Que pouvons-nous faire pour le seigneur de Longue-Sarde ? : demanda le maire.
  • Le seigneur demande le tribu du sang. Tout les hommes de seize ans et de moins de quarante doivent se rendre a son château dans une semaine.
  • Pourquoi ?
Le cavalier remonta sur sa monture et son regard caché par la visière darda le maire.
  • S'est la guerre, notre seigneur regroupe tout les hommes valide.
  • La guerre contre qui ?
  • Contre le roi.
Et le cavalier reparti au galop. Derrière lui, un nuage de poussière se forma alors que le maire avait la gorge qui lui serrait. Les rumeurs des marchands itinérants étaient donc vrai, le royaume se déchirait de nouveau.


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