mardi 14 mai 2013

ACTIVITÉ LITTÉRAIRE
SPACE DREAM
 
Bonjour tout le monde, se matin j'ai déjà eu quatre visite sur mon blogue ;) S'est une bonne matinée avec un beau ciel d'azure. Dans pas long, je vais sortir dehors profiter de cette belle journée. Mais je viens de passer une heure a écrire le début d'une histoire qui s'est développer dans la nuit. Et je vais la partager avec vous. Bonne lecture :)
 
 
Space Dream
P.1

Le bourdonnement des pales de l'hélicoptère avait un effet hypnotique et assise le regard observant la vallée boisé. Manue s'endormait l'esprit voguant sur le passée. Il y a un an sa vie comme seule de beaucoup d'autre avait basculé. Une journée on est une simple vendeuse dans un magasin et le lendemain on courait pour sauver sa vie. Et on arrêtait plus de courir, de fuir.

L'hélicoptère passa au-dessus d'un carrefour, trois épaves noirci et rouiller occupaient le chemin.

Elle releva la tête, observant les deux rangés de marines qui devaient les protéger. Son regard passa d'un visage a l'autre. Tous avaient l'air bien jeune et innocent mais ils étaient pas plus âgé qu'elle même. Seulement elle avait vécue tellement d'épreuve au cours de la dernière année. Ses yeux s'arrêtèrent au bout de la rangé. Là était assis un homme qu'elle croyait connaître, dont elle pensait connaître tout les secrets. Ses pensées vagabondèrent de nouveau dans le pensée et la ramenèrent a un jour sombre.

Assise sur un sol sale, poussiéreux et pleine d'emballage vide. Trois hommes l'entouraient, la tourmentait, la frappait en riant et elle était impuissante. Des larmes coulèrent et ils rirent encore plus. Des monstres, s'étaient des monstres et sa fuite était fini. Puis un tonnerre secoua le sol, non pas le tonnerre une explosion. Les monstres arrêtèrent leurs rires, saisirent leurs armes. Une lueur de peur se mit a briller dans leurs yeux et Manue souria. Un sourire bien pale et faible mais en fin de compte elle avait encore un peu de courage en elle. Mais pas la force de se relever pour affronter ses trois agresseurs armé et tous leurs amis. Car toute une bande de pillard s'était réuni dans cette ancienne école transformé en forteresse de fortune. Un objet cylindrique roula dans la pièce jusqu'au pied de ses tortionnaires. Puis il détona, un flash l'aveugla et ses oreilles se bouchèrent la rendant sourde. Aveuglé et sourde, un bras fort la tira du sol et la poussa hors de la salle. Sa vue commença a revenir, tout était flou. Un homme masqué la tenait debout d'un bras et tenait fermement un fusil a pompe de l'autre. Ensemble ils quittèrent l'enfer, l'enfer car le feu envahissait l'école. Les flammes rongeaient les murs et le plafond. Dans le chaos ils réussirent a sortir sans se faire inquiéter mais des corps attirent son regard. Ils avaient été abattu a bout portant et la taille du trou ne pouvait être du qu'a une seule arme. Un fusil a pompe... Ils franchirent une porte de métal et se retrouvèrent a l'air libre. En courant, ils traversèrent une aire de jeux puis grimpèrent sur une colline. Épuisée elle s'écroula dans l'herbe fraiche pleine de rosée. Le soleil se leva a l'horizon. L'homme se tourna vers lui et avec lenteur enleva son masque. Les rayons du soleil baignèrent son visage nue mais il lui tournait le dos. Le masque, l'intérieur était bizarre, des lumières clignotaient. Se truc était rempli d'électronique. Il se tourna vers elle en lui tendant une gourde d'eau puis il lui souri. Son visage lui disait vraiment quelque chose mais une barbe lui dévorait la moitié du visage.
  • Bon matin Manue.
  • Toi.
Elle avait bondi dans ses bras et depuis ne l'avait plus quitter.

Le même sourire, la sortirent de sa rêverie. Depuis l'autre bout de l'hélico, il lui souri et elle lui répondit elle aussi avec un sourire. Ensemble ils avaient retrouver sa famille, avait rebâti un semblant de civilisation dans leurs coins. Puis ils avaient de nouveau tout perdu alors qu'ils étaient parti en reconnaissance. Elle était loin de connaître tout les secrets de cette homme mais il était bien mieux rasé de près. Quand ils étaient revenu a la base, un gigantesque trou avait remplacer le terrain. Puis un peloton de marines leurs étaient tomber dessus. Il n'avait pas eu la chance de rien lui expliquer mais elle avait confiance en lui. Malgré ses secrets, il restait son doux petit génie légèrement décaler. Elle lui lança un dernier sourire puis retourna contempler la région déserté...


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